Le ministre français de la Jeunesse, de la Ville et des Sports, Patrick Kanner a fait un constat qui n’est pas pour rassurer la population française. Il a reconnu qu’une centaine de quartiers en France “présentent des similitudes potentielles avec Molenbeek», le quartier bruxellois qui est devenue une véritable fief du terrorisme islamique. Mais comme tout socialiste, il a attribué la radicalisation progressive de la jeunesse de ces quartiers “à la pauvreté et au chômage”, oubliant que par le passé, de nombreuses autres vagues d’immigration venant d’autres contrées et soumises aux mêmes difficultés n’avaient pourtant pas versé dans la violence.
Le ministre a promis cependant que les quartiers en difficultés français ne prendront pas le même chemin extrême que celui de Molenbeek “parce que les pouvoirs publics français prennent le taureau par les cornes”, critiquant de manière induite le laxisme des autorités belges.
Cette comparaison n’a cependant pas plu à un certain nombre de maires français, de droite comme de gauche.
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