La déloyauté et la fourberie des députés arabes israéliens ne se démentent donc jamais. Après le dernier cas de Hanin Zoabi à Dallas la semaine dernière, c’est le président de la Liste arabe unifiée Ayman Oudeh qui s’est rendu à Paris pour y salir Israël et défendre la cause de la “Palestine”.
Ayman Oudeh a tenu une série de rencontres avec des dirigeants de l’extrême gauche française et d’organisations pro-palestiniennes mais il a aussi été reçu chaleureusement par Jérôme Bonnafont, directeur du Département Afrique du Nord et Moyen-Orient au Quai d’Orsay. Avec lui, il s’est félicité de l’accord signé entre le Fatah et le Hamas et de la prochaine formation d’un cabinet terroriste d’union. Il a demandé à la France de reconnaître officiellement l’Etat de ‘Palestine’ et de “prendre des mesures effectives contre l’occupation israélienne”.
Lors d’une soirée organisée conjointement par le Parti communiste français et l’Association France-Palestine Solidarité, le député séditieux était assis à la tribune aux côtés du journaliste juif antisémite Alain Gresh, de Bertrand Heilbronn, juif lui-aussi et président de l’AFPS ainsi que Tawfiq Tahani, président “d’honneur”. Il a pu ainsi donner libre cours à sa haine d’Israël devant une assistance composée d’environ deux-cent personnes. Mentant de façon insolente, il a notamment accusé le gouvernement israélien de “voter chaque jour de nouvelles mesures racistes et ségrégationnistes envers la population palestinienne” et de “persécuter les défenseurs des droits de l’homme”. Il n’a pas jugé utile de préciser que dans le cadre de ces “mesures ségrégationnistes”, il ne sera nullement inquiété lorsqu’il remettra les pieds dans ce pays dont il utilise les libertés pour mieux pouvoir l’attaquer.
Avant la tenue de cette soirée, l’Union Juive française pour la Paix (Ujfp) organisation antisioniste avait annoncé cette manifestation en ces termes: “La campagne 2017/Justice pour la Palestine 2017 marque le centième anniversaire de la Déclaration Balfour, les 70 ans du vote par l’ONU du plan de partage de la Palestine suivi par l’exil forcé de plus de 700 000 Palestiniens, les 50 ans de la guerre de 1967 qui a abouti à l’occupation de la Cisjordanie et de la Bande de Gaza. La campagne de l’AFPS vise à donner à un large public les clés pour comprendre la tragédie vécue par le peuple palestinien, à travers 100 ans d’un processus de dépossession, 70 ans d’injustice et d’exil, 50 ans d’occupation et de colonisation. Elle nous donne aussi les clés pour agir, en tant que citoyens et auprès de nos élus, en faveur des droits du peuple palestinien. Le droit international est notre référence, le regard sur l’histoire accroît encore notre exigence de justice pour le peuple palestinien et d’égalité entre les peuples“.
Photo Illustration
la palestine arabe c’est la jordanie!
la palestine juive c’est Israël
il n’y a pas de 3eme palestine
point barre zoabi et compagnie! !
Si la Jordanie qui sont des palestiniens ont droit à un sous groupe en Israël ( la Cis-jordanie ) , les juifs qui ont été chassés de leur Terre de Palestine donnée aux arabes devraient demander en contre partie une cis-israël en Jordanie !!!
Pour un peu de Justice ISRAEL devrait être 3X plus vaste !!!