La Nouvelle Zélande, membre non permanent du conseil de sécurité de l’Onu jusqu’en 2016, va-t-elle à son tour, à l’instar de la France, tenter de contraindre Israël à se plier à certaines conditions imposées par les Nations unies ? Pour faire revenir Israël et les Palestiniens à la table des négociations, les néozélandais envisageraient de réclamer « l’arrêt de la construction en Judée-Samarie, le respect du statuquo sur le mont du Temple et l’interruption des démarches des Palestiniens contre Israël auprès de la Cour internationale de Justice de la Haye ». Cette initiative n’aurait pas été prise après des consultations avec les Etats-Unis qui, rappelons-le, disposent d’un droit de veto.