Eytan Yahalomi faisait partie des otages franco-israéliens retenus par le Hamas. Il a seulement 12 ans et il a été captif pendant plus de 50 jours.
Le 7 octobre, les terroristes ont envahi le kibboutz Nir Oz, où la famille Yahalomi – le père Ohad, la mère Batsheva, Eytan et ses deux soeurs de 10 ans et un an et demi – réside.
Eytan est kidnappé avec sa mère et ses soeurs. Ils regardent Ohad, blessé, rester au sol dans la maison avec les terroristes.
Eytan est emmené sur une moto, sa mère et ses soeurs sur une autre. A l’approche de la frontière, les terroristes paniquent en voyant un tank de Tsahal. Profitant de cet instant, Batsheva et les filles parviennent à s’enfuir, voyant, impuissantes, Eytan se faire emmener à l’intérieur de la Bande de Gaza.
Finalement Ohad sera aussi emmené à Gaza.
Eytan a témoigné dans les colonnes du Yediot Aharonot sur sa détention.
Une fois dans la Bande de Gaza, Eytan raconte qu’il est passé au milieu d’une foule de Gazaouis. Ils l’ont frappé, lui et d’autres otages: »Cela faisait vraiment peur ».
Dans un premier temps, le jeune garçon a été détenu seul, dans une cellule, d’où il ne pouvait sortir que pour aller aux toilettes. Ses repas étaient très espacés et composés d’une pita et d’un peu de riz ou de cornichons: »C’était dégueulasse », dit-il.
Pendant toutes ses journées où il était seul, Eytan a raconté qu’il restait assis sur le lit, sans rien faire. »On m’a laissé écouter la radio. Je n’aime pas ça, je ne l’ai jamais fait. Mais ça faisait du bien d’entendre de l’hébreu ».
Finalement, un jour il a été transféré et a retrouvé d’autres otages dont un garçon qu’il connaissait du kibboutz. Ils ont créé un jeu de cartes en écrivant des numéros sur des morceaux de papier et ont pu jouer à »la bataille ».
Les terroristes exerçaient continuellement une pression psychologique sur lui. »Ils m’ont dit que le kibboutz n’existait plus, qu’Israël n’existait plus ». A cela s’ajoutait l’inquiétude pour ses proches. Eytan était persuadé que sa mère et ses soeurs étaient aussi otages: »Je leur parlais dans ma tête. Je me faisais du souci pour elles. Les terroristes me disaient même parfois qu’ils allaient m’emmener auprès d’elles. Cela me redonnait de l’espoir ».
La veille de sa libération, les terroristes lui ont annoncé la nouvelle: »J’étais content mais je n’y croyais pas vraiment ». Il a été surpris d’apprendre une fois en route pour la base de Tsahal que sa mère l’y attendait: »Je ne comprenais pas comment elle pouvait être là. J’étais heureux ».
Le père d’Eytan, Ohad, est toujours en captivité. Il a été kidnappé blessé. Eytan s’inquiète pour lui: »Je me souviens quand j’entendais les boum des bombardements, ça faisait peur. Je pense que lui aussi doit les entendre et peut-être qu’il a peur. J’ai essayé de demander ce qui lui était arrivé quand j’étais là-bas mais on ne m’a pas répondu. Il faut qu’il rentre vite, lui et tous les autres ».
Eytan a commencé ces jours-ci son année scolaire dans le collège du kibboutz Emek Hefer, au nord de Netanya, où Batsheva s’est installée avec ses enfants. Comme tous les débuts, ce nouveau départ comporte des difficultés mais ce qui surprend le plus Eytan, c’est le calme qui règne dans ce kibboutz, lui qui a grandi à la frontière avec Gaza et qui était rompu à se rendre en quelques secondes à l’abri lors des nombreuses alertes dans la région. »Nous n’avons eu que deux alertes. On ne les a même pas entendues, on est allé dans la cage d’escalier. C’est très bizarre ».
Quand je vous dis qu’ils doivent arrêter les bégonias rapidos.
Maintenant si ils souffrent d.’une déconnexion cognitive, comme y a plus de lit en HP, bin 1 balle ds la tête et au lit
le lit n’est plus utile
Non seulement ce sont des monstres mais en + ils sont fous à lier.
Ce sont des suppôts de Satan tout comme leur supposé prophète sanguinaire le perfide Mohamerde.