L’ancien basketteur israélien de NBA, Omri Caspi, s’est dit opposé à la cession de territoires contre des garanties internationales. Il est aujourd’hui aux commandes d’un podcast dans lequel il reçoit des invités pour échanger sur des sujets d’actualité.
Sur son compte FaceBook la star sportive a comparé les promesses faites par les Américains aux Ukrainiens à celles prononcées vers Israël concernant les garanties autour de sa sécurité s’il acceptait d’évacuer des territoires et de les céder aux Arabes.
»A deux reprises, cette année, nous avons pris la leçon de ne pas compter sur la communauté internationale : en Afghanistan et en Ukraine. Plus que jamais, nous devons comprendre que chaque territoire que nous donnerons deviendra une base d’attaque contre nous. Des garanties internationales sur notre sécurité en échange de ces cessions, ne sont pas une option ».
La majorité des réactions à son post ont été en faveur de la position claire qu’il a exprimé.
Et en fait sa position est tres claire et il a raison !
On ne peut qu’approuver après l’Afghanistan et l’Ukraine! La faiblesse n’est pas une option.
Ce senile de bidet va provoquer une troisieme guerre mondiale ! Il ferait mieux de disparaitre de la vie politique !
Mais avant faudra virer tous ces Traîtres Hébreux et arabes siégeant à la Knesset.
Seul de Vrais Patriotes pourront mener ce Combat contre hussein et son disciple et pas ma Pourriture qui est au pouvoir dominé par les terroristes.
Bien vu. C’est un signe pour nous. En tout cas, on assiste à un concours de déclarations qui condamnent l’attaque et pleurent l’Ukraine. Les pays occidentaux ne trouvent pas de mots assez durs contre la Russie. Mais en réalité, nous n’avons pas besoin de ça pour comprendre. Il suffit de voir comment ils ont traité la « question juive », avec toutes les interrogations qui subsistent sur le manque total d’engagement et d’intervention, pendant la 2nd guerre mondiale, ou de considérer l’alternance entre les pleurs (quand nous sommes vicitmes) et les condamnations (quand nous sommes victorieux), pour comprendre qu’on ne peut compter sur personne.
La différence, c’est qu’ils ont peut-être peur de s’engager dans une nouvelle guerre mondiale, et qu’ils ont peur de se mouiller, alors qu’en ce qui nous concernait, ils étaient en plein dedans.