Le président de Meretz a annoncé lundi soir qu’il recommandera Yaïr Lapid auprès du président de l’Etat pour le poste de Premier ministre. Il est le premier chef de parti à annoncer qui il soutiendra pour ce poste. Nitzan Horovitz a expliqué son choix en expliquant que Yesh Atid sera sans aucun doute le plus grand parti du bloc de gauche et qu’il aura le plus de chances de former le prochain gouvernement. Il a indiqué vouloir faire partie d’un gouvernement Lapid et révélé qu’il demanderait le ministère de l’Education !
Nitzan Horovitz a pris cette décision alors que le président de Yesh Atid lui-même tourne toujours autour du pot et refuse de déclarer officiellement qu’il brigue le poste de Premier ministre tout en déclarant dans la foulée “que lui et son parti sont prêts à assurer le changement”. Yaïr Lapid a même déclaré lundi que l’enjeu des élections n’est pas qui sera le prochain Premier ministre (sic) et “qu’il ne fera pas le plaisir” à Binyamin Netanyahou de se déclarer et déclencher ainsi un duel durant la dernière semaine de campagne comme le souhaite le Premier ministre.
Yaïr Lapid a repris son thème traditionnel et démagogique opposant “une coalition raciste, extrémiste et homophobe” face “à ceux qui travaillent et paient des impôts”.
Photo Yonatan Sindel / Flash 90
Un looser choisissant un looser: quoi de plus naturel?
Horovitz sans métier ni passion, a décidé de faire la politique politicienne en s’enfonçant chaque jour toujours à la recherche d’un nouveau fond de commerce. Comme par hasard, il utilise les mêmes arguments que Mélenchon de LFI. Mélenchon qui disait ce matin sur RTL que nous devons acheter le vaccin Cubain.
Tous les deux à vomir et sauve qui peut.
Son nouveau mentor Lapid est de la même espèce, même racaille, même linge sale. Que vaut Lapid aujourd’hui lorsqu’il a démontré son impuissance d’aligner 2+2 quand il était aux finances ? Ses injures et son parler ordinaire ne peuvent en aucun cas être utilisés comme ingrédients d’un Premier Ministre.
Tous les trois à gerber et fasse qu’ils disparaissent à tout jamais du paysage politique.
Allez, au cul la baillonnette !