Un porte-parole de la société a déclaré au Jewish Chronicle, qui avait relaté plus tôt cette affaire : « Nous présentons nos excuses pour la lettre que nous avons envoyée à plusieurs de nos locataires pour leur demander d’enlever de la porte d’entrée de leur appartement des objets de culte et plus particulièrement leur Mezouza ».
Il a ajouté : « La lettre témoignait d’un ‘excès de zèle’ et n’était pas conforme aux valeurs de notre entreprise. Nous tenons à dire très clairement que les résidents du bloc d’immeubles concernés ne sont pas requis de retirer leur Mezouza et celle-ci ne sera enlevée ni par Warwick Estates ni par un employé travaillant pour notre compte ».
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Claire Dana-Picard