Le discours de Myriam Peretz a laissé un goût de douceur extrême à cet anniversaire des 70 ans de notre pays. Ce n’est pas un hasard s’il a eu un tel écho et s’il a été lu, entendu et partagé par tant de monde en Israël et dans le monde juif en général. L’émotion fut si intense que déjà on suggérait du bout des lèvres que la Mère des Enfants (Em Habanim) devienne la prochaine présidente. Il y a dans son élocution, ce que chaque habitant aime au fond de lui, et surtout attend de l’autre. Myriam la prophétesse a transmis le plus beau message d’amour que le Am Israël rêvait d’entendre. Elle est devenue pour un moment la mère de tout un peuple. Elle a dépassé sa douleur personnelle, pour exprimer les valeurs essentielles de notre judaïsme. Tout était réuni : tsniout, respect des parents, de son prochain, reconnaissance pour le bien qui nous est fait, bon œil, foi, patriotisme et optimisme. Oui optimisme d’une mère qui a perdu dans les guerres d’Israël, ce qu’elle avait de plus cher : deux de ses fils, Ouriel et Eliraz, z’’l. Optimisme d’une femme qui s’est retrouvée veuve si tôt.
Ce genre de message entendu et approuvé par tout un peuple prouve une chose : les Israéliens aspirent au bon, au meilleur, au bonheur. C’est peut-être pour cette raison que Nathalie Portman, l’actrice en vogue d’Hollywood, nous pointe du doigt. Elle fait partie du même peuple que nous, mais ne semble pas se reconnaitre dans les mots de Myriam. Elle préfère voir d’Israël, ce que ses ennemis lui reprochent : de se défendre, d’aimer sa terre, de vouloir rester un Etat juif et indépendant. Pour toutes ces raisons, et d’autres sûrement, l’actrice israélo-américaine a annoncé qu’elle ne se rendra pas en Israël pour y recevoir le “Prix Genesis” qui récompense des personnalités qui ont particulièrement contribué au peuple juif ou aux valeurs juives. Elle a su faire parler d’elle, alors qu’on l’avait quelque peu oubliée ces derniers temps, grâce à une autre star israélienne, patriote, elle : Gal Gadot.
En fait, ce qui caractérise cette minorité juive à travers le monde, qui ne fait que tirer à boulets rouges sur son pays, s’appelle l’amertume. Cet amour d’un passé révolu, au goût de la Galout, trompeuse et meurtrière. Ces adeptes du syndrome Obama, veulent figer Israël, croient voir en l’ennemi de l’amour, et tournent le dos aux soldats de la liberté.
Nous devrions tous réécouter et étudier chaque parole prononcée par Myriam Peretz lors de la cérémonie de la remise du Prix d’Israël pour le 70e Yom Haatsmaout, mais pas seulement. Nous avons aussi le devoir de nous en inspirer pour grandir un peu plus, nous retrouver toutes et tous plus unis, plus soudés, pour voir et vivre en Israël la Guéoula qui n’est pas loin.
Le discours de Myriam Peretz a laissé un goût de douceur extrême à cet anniversaire des 70 ans de notre pays. Ce n’est pas un hasard s’il a eu un tel écho et s’il a été lu, entendu et partagé par tant de monde en Israël et dans le monde juif en général. L’émotion fut si intense que déjà on suggérait du bout des lèvres que la Mère des Enfants (Em Habanim) devienne la prochaine présidente. Il y a dans son élocution, ce que chaque habitant aime au fond de lui, et surtout attend de l’autre. Myriam la prophétesse a transmis le plus beau message d’amour que le Am Israël rêvait d’entendre. Elle est devenue pour un moment la mère de tout un peuple. Elle a dépassé sa douleur personnelle, pour exprimer les valeurs essentielles de notre judaïsme. Tout était réuni : tsniout, respect des parents, de son prochain, reconnaissance pour le bien qui nous est fait, bon œil, foi, patriotisme et optimisme. Oui optimisme d’une mère qui a perdu dans les guerres d’Israël, ce qu’elle avait de plus cher : deux de ses fils, Ouriel et Eliraz, z’’l. Optimisme d’une femme qui s’est retrouvée veuve si tôt.
Ce genre de message entendu et approuvé par tout un peuple prouve une chose : les Israéliens aspirent au bon, au meilleur, au bonheur. C’est peut-être pour cette raison que Nathalie Portman, l’actrice en vogue d’Hollywood, nous pointe du doigt. Elle fait partie du même peuple que nous, mais ne semble pas se reconnaitre dans les mots de Myriam. Elle préfère voir d’Israël, ce que ses ennemis lui reprochent : de se défendre, d’aimer sa terre, de vouloir rester un Etat juif et indépendant. Pour toutes ces raisons, et d’autres sûrement, l’actrice israélo-américaine a annoncé qu’elle ne se rendra pas en Israël pour y recevoir le “Prix Genesis” qui récompense des personnalités qui ont particulièrement contribué au peuple juif ou aux valeurs juives. Elle a su faire parler d’elle, alors qu’on l’avait quelque peu oubliée ces derniers temps, grâce à une autre star israélienne, patriote, elle : Gal Gadot.
En fait, ce qui caractérise cette minorité juive à travers le monde, qui ne fait que tirer à boulets rouges sur son pays, s’appelle l’amertume. Cet amour d’un passé révolu, au goût de la Galout, trompeuse et meurtrière. Ces adeptes du syndrome Obama, veulent figer Israël, croient voir en l’ennemi de l’amour, et tournent le dos aux soldats de la liberté.
Nous devrions tous réécouter et étudier chaque parole prononcée par Myriam Peretz lors de la cérémonie de la remise du Prix d’Israël pour le 70e Yom Haatsmaout, mais pas seulement. Nous avons aussi le devoir de nous en inspirer pour grandir un peu plus, nous retrouver toutes et tous plus unis, plus soudés, pour voir et vivre en Israël la Guéoula qui n’est pas loin.
Avraham Azoulay
Photo by Yonatan Sindel/Flash 90
où peut-on lire le message dont vous faites l’éloge ?