Depuis qu’il est élu, le nouveau président américain ne cesse de s’en prendre aux médias qui il est vrai ne l’ont guère épargné depuis qu’il est entré en campagne et jusqu’à ce jour. Il leur reproche notamment de diffuser régulièrement ces fameuses « fake news », qui sont destinées à donner de lui une image détestable et remettre en cause la légtitimité de sa présidence.
Par contraste, il leur reproche aussi de ne pas diffuser ou de minimiser tout ce qui pourrait être mis à son crédit. C’est ainsi que samedi, le président américain a twitté avec irritation: « Les médias ont ‘omis’ de parler du déficit budgétaire américain qui a baissé de 12 millards de dollars en un seul mois, depuis que j’ai pris mes fonctions. Ce déficit avait par contre fait un bond de 200 milliards durant le premier mois du mandat de Barack Obama ».
Ce syndrome est exactement le même que celui qui sévit en Israël. Les grands médias réchignent à mettre en valeur les bons résultats de l’économie israélienne, sous la politique de Binyamin Netanyahou ou les succès diplomatiques du Premier ministre dans de nombreux pays. Ces faits sont rarement soulignés, contrairement à chaque petite nouvelle qui pourrait nuire au Premier ministre et qui est montée en épingle.
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