Le futur conseiller juridique du gouvernement repousse les attaques des médias et de l’opposition sur sa nomination, qui invoquent notamment sa proximité avec le Premier ministre. Pourtant, quatre membres de la commission de choix sur cinq ont voté en sa faveur. Mandelblit, qui fut aussi procureur général de Tsahal, défend sa bonne foi et son intégrité, et indique qu’il n’hésiterait pas à inculper le Premier ministre Binyamin Netanyahou si cela devenait un jour nécesssaire sur le plan judiciaire.
Il a également repoussé les critiques sur l’absence de période de transition entre son poste actuel de secrétaire-général du gouvernement et celui de conseiller juridique du gouvernement: « Une telle période n’est pas nécessaire car ma proximité avec le Premier ministre est d’ordre purement professionnel ».
Photo Yonatan Sindel / Flash 90