En visite officielle au Venezuela, dont le régime est trés anti-israélien, le chef terroriste de l’Autorité Palestinienne a fait un discours très virulent, comme il sait le faire, et a notamment évoqué le « droit du retour », l’un des rares points sur lesquels la droite et la gauche sioniste israéliennes sont d’accords dans leur opposition catégorique: « Nous n’oublierons jamais le droit du retour. Plus de six millions de Palestiniens attendent de pouvoir retourner dans leurs maisons et récupérer leurs biens dans notre patrie la Palestine ».
Il est fort à parier que ces propos conciliants et pacifiques du chef de l’AP n’entraîneront aucune réaction à Washington ou au siège des Nations-Unies contrairement à ceux de Binyamin Netanyahou sur le nettoyage ethnique planifié par Abou Mazen en Judée-Samarie.
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