Apparemment, la menace exprimée par courrier électronique contre les écoles de la ville de Los Angeles n’était qu’un canular. C’est ce qu’auraient indiqué plusieurs hauts responsables du gouvernement fédéral. D’après les médias américains, la municipalité et la police de Los Angeles n’ont voulu prendre aucun risque et ont préféré fermer les écoles publiques et maintenir chez eux près de 640 000 élèves. Selon l’agence Reuters, elles auraient pris cette décision sans consulter au préalable le FBI qui s’occupe de ces questions. La mesure a été levée et les jeunes ont pu retourner en classe.