Dans sa propagande, l’organisation israélienne de gauche « Combattants pour la paix » justifie la tenue annuelle d’une cérémonie commune de souvenir entre familles de victimes du terrorisme et familles de terroristes par la « recherche du dialogue et de la réconciliation ».
Des études réalisées sur la base des correspondances internes entre membres de cette organisation montrent une image bien moins louable qu’elle ne prétend l’être. Outre le dévoiement moral d’une telle cérémonie mettant sur un même pied victimes et agresseurs, les motivations de ses responsables et membres oscillent entre la naïveté, le rôle d’idiot utile et un franc soutien idéologique à la cause « palestinienne ».
Un exemple édifiant vient d’en être fourni avec l’organisation d’une soirée en commémoration de la ‘naqba’, événement historique qui sous couvert d’un parallèle indécent avec la Shoah vient rappeler l’échec des armées arabes à détruire dans l’oeuf l’Etat d’Israël en 1948. Pour ces « combattants de la paix », aucune solution au conflit ne sera possible tant qu’Israël n’aura pas reconnu « le préjudice historique subi par les Palestiniens en 1948 »!
La publicité diffusée sur les réseaux sociaux appelant à cette soirée organisée sur Zoom se passe de commentaires tant elle mensongère: « Cette semaine, en Israël, en Palestine est à travers le monde, est commémoré le 72e anniversaire de la naqba, symbole des aspirations du peuple palestinien à son indépendance nationale, et où l’on pleure le préjudice historique qui s’est produit avec la création de l’Etat d’Israël et l’expulsion de ses habitants palestiniens. Avec nos amis palestiniens de ‘Combattants pour la paix » nous organisons le 14 mais une cérémonie pour marquer le 72e anniversaire de la naqba qui sera retransmis en hébreu, en arabe et en anglais(…) Au programme, deux Palestiniens qui raconteront leur souvenir de la naqba, des histoires personnelles de réfugiés palestiniens chassée en 1948, des témoignages d’Israéliens sur leur première rencontre avec le récit de la naqba, et une discussion quant à un regard égalitaire sur ces événement et quant aux perspectives d’avenir sur une vie commune nécessaire entre Israël et la Palestine… ».
Au nom de la réciprocité et pour la « recherche de la paix », on suppose que les membres juifs de « Combattants pour la paix » attendent désormais de leur amis « palestiniens » une reconnaissance du préjudice causé par les sept Etats arabes qui ont voulu jeter les Juifs à la mer lors de la Guerre d’Indépendance de 1948 avec à la clé plus de 6700 morts juifs dont 2400 civils.
La journée de la ‘naqba’ est devenue aujourd’hui prétexte pour ces militants moralement désaxés de pleurer avec eux sur la défaite de ceux qui voulaient notre disparation.
Photo Illustration
JE COMPRENDS AISÉMENT QUE C EST UN ANNIVERSAIRE DUR À SE REMÉMORER POUR LES ARABES (les palestiniens arabes sont apparus qu en 1967) ILS N ONT PAS PU EN 1948 GAGNER LA GUERRE POUR JETTER À LA MER TOUS LES JUIFS ISRAÉLIENS.
Les palestimerdes, les musulmerdes, les mohamerdes et allahmerdes, doivent être combattus et cantonnés dans la place qui leur revient. vivement le leader qui prendra cette responsabilité.
Et encore Bla Bla et Bla Bla..
Il y a en Israël une grosse Merde qui détient les vrais Pouvoirs , et que fait cette grosse Merde face à ces Associations de Merde qui sont condamnables pour Trahison pour le travail en commun avec les Ennemis de notoriété qui cherchent la destruction d’Israel…..
Rien n’est fait , ce qui se passe au vu et au su de tout le Peuple est tout à fait respectable pour cette grosse Merde qui détient les Rênes du Pays….
Et le Peuple d’Autruche est d’autant satisfait , qu’il ne demande absolument rien…..
Une Honte de Plus à inscrire dans l’Histoire….
ils sont » juifs » ok , mais des juifs corrompus , laïcards qui ont renié DIEU !! Ils veulent une nouvelle shoah dans leur propre pays , ils seront les kapos aux ordres des dits » palestiniens » avec leur ami UE !!! ce sera une nouvelle shoah inversé : en 39-45 c’était HITLER — MUFTI , cette fois ce sera MUFTI — UE ! pas grand changement ….
Et ils ne parlent pas des préjudices subis par les juifs dans la Palestine Antique juive Orientale ??? où sont passés les juifs ??, éjectés , usurpés de tous leurs biens !!! Pourquoi les juifs ne réclament pas des réparations au petit Roi descendant d’ ABDALLAH qui a volé 75% de cette Palestine Antique juive !!!
J’aime bien la dernière phrase du texte : » une vie commune nécessaire entre ISRAEL et Palestine « …..sous un gouvernement Islamique n’est-ce pas ??? mes amis juifs , tâchez de mourir musulman sinon vous n’irez pas au paradis !!! ( sourate de la vache ,2 ) !!!
Ces juifs qui veulent un ETAT de ce style sont sûrement des descendants de kapos ou peut-être éduqués dans les écoles coraniques chez les dits » palestiniens » !!
La naqba c’est la défaite des armées arabes à détruire Israël c’est normal que ce soit une catastrophe pour eux je me rappelle avoir entendu les enregistrements de leurs muftis qui les exhortaient à partir et revenir une fois qu’ils auraient égorger tous les juifs ! Si les armées arabes n’avaient pas attaqué déjà ils auraient leur état indépendant en 1947! A qui la faute? C’est louable de vouloir promouvoir la paix mais pas sur les mensonges et il faudrait reconnaître ses torts ce qui est loin d’être le cas aujourd’hui la société palestinienne dirigée par le négationniste Abbas subventionne la haine et l’assassinat de Juifs, je n’arrive pas à comprendre l’aveuglement des gauchistes.
Miriam ,les palestiniens sont chez eux …. arrêtez de vous lamenter un foyer juifs ne veut pas dire tout le pays ,la nakba représente la shoah pour les palestiniens ,vos parents ou vos cousins enfin votre secte est sorti de la Shoah et vous Faites la meme chose que les nazis ,,allons un peu de bon sens SVP …
Les Palestiniens sont « un peuple imaginé ». Une histoire factice !
Les peintres, la photographie, la littérature… Nous ont laissé des témoignages concernant le pays disputé.
Jérusalem n’était qu’une bourgade abandonnée et pitoyable sous occupation arabe. Elle n’était que ruines et désolation.
Voici un florilège recueilli par Michelle d’Astier de la Vigerie :
– Edouard Webbe en 1590 :
« Il n’y a rien à Jérusalem mis à part de vieux murs ».
– Henry Maundrell en 1697 :
Nazareth, « un village minuscule et sans importance », Jéricho, « une bourgade minable et sale », Acre, « une désolation ».
– L’archéologue britannique Thomas Shaw en 1738 :
« la Terre Sainte est vide, désolée et manquant de tout, qui manque d’habitants ».
– Alphonse de Lamartine en 1832 :
Mis à part à Jérusalem, il ne rencontra pas âme qui vive et que la Terre d’Israël était « le tombeau de tout un peuple [les Hébreux] ».
Puis, William Thackeray en 1844. Il en est de même pour Alexandre Keith en 1844, le consul britannique en Terre d’Israël, James Pinn en 1857, le cartographe britannique Arthur Penrhyn Stanley en 1862.
Je cite encore Mark Twain en 1867 : « Pas un seul village dans la Vallée de Jezréel, rien sur 30 miles dans les 2 sens. 2 ou 3 petits groupes de tentes bédouines, mais pas une seule habitation permanente. On peut voyager pendant 10 miles sans rencontrer 10 êtres humains. Déserts sans âme qui vive, collines vides, ruine mélancolique de Capharnaüm, stupide village de Tibériade, enterré sous six palmiers. Nous arrivâmes à Tabor sans rencontrer âme qui vive tout au long du chemin. Nazareth est désolée, Jéricho est en ruine, Bethléem et Béthanie, dans leur pauvreté et leur humiliation, ces endroits n’abritent pas une créature vivante. Un pays désolé, dont la terre serait peut-être assez riche si elle n’était abandonnée aux mauvaises herbes. Une étendue silencieuse, triste. À peine y a-t-il un arbre ou un arbuste, çà et là. Même les oliviers et les cactus, ces fidèles amis d’un sol sans valeur, ont quasiment déserté le pays ».
Et le Compte-rendu de la commission royale Britannique de 1913 :
« La région est sous-peuplée et est restée économiquement stagnante jusqu’à l’arrivée des premiers pionniers sionistes vers la fin des années 1880, qui sont venus pour reconstruire la terre juive.
La route qui va de Gaza vers le nord n’est qu’une piste estivale tout juste bonne pour les chameaux et les charrettes. On ne voit ni bosquet d’orangers, ni verger, ni vigne, jusqu’à ce que l’on arrive en vue du village de Yavné. Les maisons sont des torchis. Il n’existe pas d’écoles. La partie orientale en direction de la mer est quasiment désertique. Les villages, dans cette région, sont rares et chichement peuplés. Beaucoup de villages sont désertés par leurs habitants. »
– Dawood Barakat, éditeur du journal égyptien Al-Ahram en 1914 :
« Les Sionistes sont nécessaires pour le pays : l’argent qu’ils apporteront, leur connaissances, leur intelligence et l’industrialisation qui les caractérise contribueront sans aucun doute à la régénération du pays. »
– Lewis French, le directeur britannique du développement de la « Palestine » en 1931 :
« Nous l’avons trouvée [la « Palestine »] habitée par des Fellahs [agriculteurs arabes] qui vivent dans des taudis de boue et souffrent sévèrement de la malaria très répandue. De grands secteurs étaient non cultivés. […] Il n’y avait presque aucune sécurité publique, les fellahs sont sans cesse soumis au pillage de leurs voisins nomades, les bédouins. »
Il y a encore à lire les témoignages de Chateaubriand, Churchill, encore, qui entre autres, ont visité cette terre de désolation avant l’arrivée des sionistes et des “Palestiniens”, ils témoignent tous d’un paysage qui est désert, incapable de soutenir une population.
Il y a de nombreuses photographies qui rendent le même constat, puis, les artistes dont David Roberts. J’ai toujours apprécié ses peintures de lieux désolés avec des ruines, ici et là quelques soldats de l’Empire Ottoman pour veiller à sa sécurité.
Après la Grande Guerre, les Britanniques héritèrent de ce morceau de l’Empire ottoman
défait. Beaucoup de citations de l’époque attestent que le pays était désolé et qu’il n’existait pas d’entité dite « palestinienne ».
Jérusalem a repris vie avec le retour du peuple juif tout comme la terre d’Israël.
Voilà pour le pays verdoyant « envahi et ravi » par les Juifs.
Donc, sous la domination turque, la terre était à l’abandon et dépeuplée. La terre s’est peuplée à la fois de Juifs et d’Arabes car les Juifs sont revenus et ont commencé à la réhabiliter. Chaque parcelle de terre achetée par des Juifs le fut en toute légalité. Parce que les Juifs européens ont acheté les terres sur lesquelles ils s’installaient. Les juifs autochtones vivaient en Palestine au même titre que les arabes, dont nombre avaient afflué de pays voisins en voyant décoller l’économie grâce à l’assainissement, au défrichement et à l’agriculture des pionniers juifs. En 1947, Au bout d’un siècle d’une cohabitation tumultueuse entre communautés juives et arabes, l’ONU a estimé qu’après le départ des occupants britanniques il valait mieux les séparer en créant deux Etats pour deux peuples. Les juifs ont accepté, les arabes ont refusé, et depuis lors c’est la guerre.
Il n’y aura pas de solution politique durable au conflit israélo-palestinien tant que le monde arabo-musulman ne se sera pas réconcilié avec l’antériorité de la présence juive en Terre Sainte et donc la légitimité de cette présence.
Christian Rayet
Ma « secte » sortie de la Shoah ferait la même chose que les nazis? Dites moi donc ou sont les camps de concentration et d’extermination pour « le génocide » des palestiniens qui de 600 000 sont maintenant à 7000 000 ! Ma « secte » est vraiment médiocre dans ce domaine !
Les armées arabes ont attaqué Israël pour le détruire c’est de leur faute s’il n’y a pas d’ »État Arabe de Palestine »selon la résolution de l’Onu depuis 1947 et ils jouent les victimes pour faire réellement la paix il faudrait reconnaître ses torts et ne pas éduquer ses enfants dans la haine et le mensonge! Il faut un minimum d’honnêteté intellectuelle pour avancer.
Sous la domination turque, la terre de Palestine était à l’abandon et dépeuplée. La terre s’est peuplée à la fois de Juifs et d’Arabes car les Juifs sont revenus et ont commencé à la réhabiliter. Chaque parcelle de terre achetée par des Juifs le fut en toute légalité. Parce que les Juifs européens ont acheté les terres sur lesquelles ils s’installaient. Les juifs autochtones vivaient en Palestine au même titre que les arabes, dont nombre avaient afflué de pays voisins en voyant décoller l’économie grâce à l’assainissement, au défrichement et à l’agriculture des pionniers juifs. Il n’y avait donc pas d’entité nationale palestinienne en 1948, mais un territoire nommé Palestine qui se retrouvait sans occupant pour la première fois depuis des siècles.
Il y eut de nombreuses tractations entre Arabes et Juifs avant l’indépendance d’Israël, mais les leaders Arabes avaient décidé de recourir à la violence dès les années 1920.
Faute de pouvoir s’entendre avec les palestiniens arabes, les six-cent mille Palestiniens Juifs ont fait valoir le droit des peuples à disposer d’eux-mêmes. Ils ont proclamé leur indépendance conformément au plan de partage de l’ONU.
Ainsi, en 1947, au bout d’un siècle d’une cohabitation tumultueuse entre communautés juives et arabes, l’ONU a estimé qu’après le départ des occupants britanniques il valait mieux les séparer en créant deux Etats pour deux peuples. Les Nations Unies ont partitionné la terre d’Israël entre Arabes et Juifs. Les Juifs pensaient que la résolution était très mauvaise et inacceptable, la création d’un Etat juif divisé sur une petite bande côtière et un désert, en trois cantons étroits qui étaient à peine contigus, indéfendables et ingérables. Mais ce plan a été accepté par Israël laissant la part belle aux Palestiniens qui le refusent au nom du « tout ou rien » et choisissant l’épreuve de force pour tenter de reprendre dans le sang des terres légalement vendues et rejeter toute idée de partage, de négociation et de conciliation avec les Juifs, n’hésitant pas à clamer qu’ils les rejetteraient à la mer.
Il est courant d’entendre que la création de l’Etat d’Israël a été précipitée par la Shoah. En réalité c’est l’inverse: la Deuxième Guerre Mondiale a retardé cette création. Il y avait déjà eu en 1937 la Commission Peel, délégation britannique venue examiner la situation politique, démographique et culturelle de ce territoire qui n’avait quasi jamais connu de souveraineté depuis les rois de Judée. Le rapport de la Commission Peel date de 1937, soit de dix ans avant la Résolution de l’ONU recommandant le partage de la Palestine, et démontrant que celle-ci ne ratifiait pas une fiction, mais une réalité sur le terrain.
Avant 1948 il y avait à peu près un million huit cent mille palestiniens sous occupation britannique, soit deux tiers de Palestiniens Arabes et un tiers de Palestiniens Juifs. Tous Palestiniens, donc. Lorsque les Britanniques évacuent la Palestine, Arabes palestiniens et Juifs palestiniens ont, de tous points de vue, les mêmes droits sur ce pays, non pas pour des raisons mythiques, mais tout d’abord parce qu’ils y vivaient. On peut arguer à l’infini sur l’évolution de la démographie de la Palestine au fil de l’Histoire, mais nul ne peut contester qu’il y avait eu sur ces lieux une présence juive ininterrompue depuis l’Antiquité.
Il n’y avait pas d’Etat palestinien avant 1948, mais des clans, des tribus et des communau-tés disparates. Le concept même de « Palestine » n’existait pas dans l’Empire ottoman ! En évacuant la Palestine, les britanniques laissaient non pas un état, mais une mosaïque, dont les principaux éléments étaient un ensemble cohérent d’institutions comme l’Université de Jérusalem, une centrale syndicale, une éducation nationale, un système de transport, une agriculture, une police, et même un embryon de force militaire sous contrôle britannique.
Pouvons-nous trouver un drapeau qui vienne de la période d’avant le 15 mai 1948 lorsque les Juifs sont venus « voler le pays aux Palestiniens ». Il doit y avoir le drapeau national de cette époque, non pas le drapeau actuel, qui a été emprunté, mais un drapeau historique? Non, il n’y a pas de drapeau historique. Alors, il y a bien eu une émission de timbres? Les philatélistes ont bien quelques collections qui ont marqué l’époque « présioniste » de 1948 à présenter? Non, les timbres de cette époque présentent des initiales qui n’existent qu’en hébreu et signifie « Terre d’Israël ». Puis, c’est étrange, j’ai entendu dire que le son « P » de Palestinien n’existe pas en langue arabe! Les pièces de monnaie ont la même indication. Il y a bien le souvenirs d’un match de football qui a opposé la Palestine à l’Australie, mais le sigle des maillots est celui d’Israël…
Les juifs ont donc accepté le plan de partage, les arabes ont refusé. Dès le lendemain de sa déclaration d’indépendance la guerre est déclarée. Plusieurs pays arabes veulent écraser Israël dès sa naissance. La Jordanie, Egypte, Syrie, Liban et Iraq. Le 23 mai 1948, les forces trans-jordaniennes ont gagné la ville sainte de Jérusalem, en plus d’envahir la Samarie et une partie de la Judée. Puis, le 15 juillet, un cessez-le-feu est conclu entre les belligérants, une armistice s’étend à tous les secteurs de la Palestine.
La guerre des Six Jours en 1967, entre Israël et ses pays voisins, fait perdre au royaume de Transjordanie, renommé depuis Jordanie, les territoires qu’il contrôlait à l’ouest du Jourdain : la Cisjordanie et Jérusalem-Est. Israël prend le contrôle de la région et établit des implantations de peuplement juif dans ces territoires qu’il soumet à une administration militaire. Le royaume hachémite, quant à lui, continue de contrôler la fonction publique (hôpitaux, écoles, municipalités) et de gérer les lieux saints islamiques.
Il est nécessaire de comprendre la politique de l’Etat Juif, pour cela il faut intégrer l’idée que la préoccupation prioritaire de tout gouvernement d’Israël, quel que soit son bord, est la sécurité. La raison en est que s’il n’y a plus de sécurité, il n’y a plus d’Israël.
C’est pour cela que le traité de paix avec l’Egypte comprend une clause de démilitarisation du Sinaï et que si Israël restituait le Golan ce serait à condition de le démilitariser. C’est pour cela qu’Israël a transformé le Sud-Liban en zone-tampon pendant vingt ans et qu’il a construit une barrière de séparation, des postes de contrôle sur les routes de Cisjordanie. La sécurité d’abord. Israël désire être en paix avec tout le monde, à particulièrement avec ses voisins, mais pas au prix de sa sécurité.
Quand les responsables politiques israéliens déclarent au plus haut niveau qu’ils sont prêts à faire des concessions en échange de la paix, ce n’est pas un vain mot. Leur main tendue ne se résume pas à des discours à la Knesset, au Congrès américain ou à l’ONU.
Selon un blogueur, Marclev,
« Cette paix d’ailleurs aurait pu commencer lorsqu’en décembre 1988 Arafat reconnaissait le droit d’Israël à vivre « en paix » (ONU à Genève) ne s’engageant certes nullement dans cette voie…
cette paix aurait pu continuer à se mettre sur pied à Madrid en 1991…en 1993 avec les accords d’Oslo…en 1995 avec « Oslo II »…en 1998 avec Wye Plantation…en 1999 à Charm-el-Cheikh…en 2000 à Camp David…en 2005 de nouveau à Charm-el-Cheikh…en 2007 à Annapolis…en 2010 avec la soi-disant reprise des pourparlers “directs”…
Cette paix aurait pu faire suite au retrait israélien de 6 villes de Cisjordanie en 1995, au retrait israélien en l’année 2000 de 6,1 % de territoires supplémentaires de Cisjordanie (cela portant le retrait israélien d’alors à 40 % du territoire), à l’annonce faite en 2004 par Ariel Sharon de démanteler toutes les implantations israéliennes de la bande de Gaza (7500 habitants…), de la fin de ce démantèlement en août 2005, à la libération de 198 prisonniers palestiniens en août 2008, de 227 autres en décembre de cette même année, aux maints gels de construction en Judée-Samarie conditions sine qua-non afin que les palestiniens acceptent de discuter de paix ;
oui mais … en 1997 un accord de retrait partiel de la ville de Hébron n’avait abouti à une nouvelle crise, si de 2000 à 2005 une intifada n’avait été décrétée par les instances palestiniennes, si en août 2003 un attentat n’avait fait 21 victimes à Jérusalem, si un autre en octobre 2003 n’en avait fait 20, si les missiles, roquettes, attentats, poignards, tirs… avaient cessé. » Israël est continuellement sous le feu, est-il le vrai problème régional ?
Dites-moi, où est l’esprit du nazisme?
Moisejesus est soit un humoriste soit un propagandiste soit un ignorant. Mais il peut être et propagandiste et ignorant. Qu’il s’informe honnêtement s’il le peut. Un mot quand même, il n’y a pas peuple palestinien avant 1964, c’est une invention du kgb.
Le nom de «Palestine» fut attribué au territoire de Judée par l’empereur romain Hadrien, comme mesure punitive à la révolte menée par Bar Kokhba et en référence aux Philistins5 Ce nom était lui-même dérivé, par l’intermédiaire du grec, de l’hébreu où le mot peleshet désignait les Philistins, peuple qui occupait la plaine côtière des actuels bande de Gaza et Israël5. Le terme « Palestiniens » définit les habitants de la Palestine.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Palestiniens
C’est donc suite au vol des romains que les philistins se sont approprié le pays d’Israël …. Où est la légitimité des arabes sur la terre d’Israël ?????????
POUR DONNER LE MORAL « » AUX NAZIS ARABOS- MUSULMANS’- ISLAMISTES- FACHISTES-TERRORISTES DE TOUTES OBÉDIENCES « » LEURS DISPARITIONS EST TRÈS PROCHE ANNONCER DANS LA TORAH ET CONFIRMER PAR LES PROPHÈTES « » :::::::::::::: CE N’ EST PAS ALLAH UN D.IEU IDOLÂTRE PREFABRIQUER QUI POURRA S’OPPOSER AU D.IEU VIVANT » HACHEM TSION ISAREL » ILS DISPARAÎTRONS CORPS ET ÂMES ET POUSSIÈRES POUR UNE MORT ÉTERNELLE AVEC LES SOUFFRANCES ÉTERNELLES DANS LE FEU DU GUEHINOME :::::::: AMEN VE AMEN ::::::::::::::::