L’organisation d’extrême gauche B’Tselem, qui prétend défendre les droits de l’homme, a publié une liste des Arabes palestiniens tués par les forces israéliennes de sécurité en 2016.
Hormis l’aspect immoral d’une telle liste qui ne prend en compte que la mort des agresseurs, B’Tselem a absous un grand nombre de terroristes, dont certains ont du sang juif sur les mains, en les rangeant dans la catégorie « d’individus dont on ne sait pas s’ils ont été mêlés à des activités terroristes »! Le quotidien Yediot Aharonot qui publie cette information relève par exemple que Mazen Fathi, auteur d’un attentat à Haïfa qui avait fait 23 morts, Laoui Jihad Fathallah a-Saadi, responsable de la mort de cinq personnes sur la promenade de Tel-Aviv en 2005 ou encore l’auteur d’un attentat dans un centre commercial de Netanyah (cinq morts)…sont rangés dans cette catégorie de « Palestiniens tués par les forces de sécurité sans que l’on sache s’ils ont été impliqués »!
B’Tselem, qui recense 101 Arabes palestiniens tués en 2016, considère que la majorité d’entre eux auraient été « exécutés sommairement » à cause des consignes de tir trop permissives données aux forces de sécurité!
Si B’Tselem avait eu l’honnêteté intellectuelle et la hauteur morale de dresser la liste des Israéliens tués par les terroristes durant cette même période, cette organisation aurait été obligée de constater que dans 100% des cas, ces malheureuses victimes israéliennes n’étaient impliquées dans aucune action violente. Seul le fait d’être juives a été le motif des Arabes palestiniens de s’attaquer à elles et les assassiner.
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