Chacun connait des histoires qui se doivent de commencer par : « II était une fois ». Celle d’Antonin Lévy est de celles-là ! A la différence près que le héros de notre histoire né Lévy soit obligé de se faire un prénom pour être identifiable et plus encore dans son cas, se doive, non seulement de « tuer le père », Bernard Henry Lévy, mais toute sa famille, pour se sentir exister !
Et ce sont peut-être les récents « problèmes » du candidat à l’élection présidentiel, François Filon qui vont lui en donner l’occasion !
Les deux hommes s’étaient rencontrés pour la première fois en 2012.
Antonin Lévy, commençait alors sa carrière d’avocat sous la houlette brillante de ses pairs, François Sureau, Jean-Michel Darrois et Olivier Metzner.
De son coté, François Fillon espérait la présidence de l’UMP, une place qui lui fut soufflée par Jean-François Copé.
« C’est ainsi qu’un beau matin, François Fillon, et moi nous sommes retrouvés devant le siège de l’UMP avec greffier et huissier, se souvient le jeune avocat.
Puis chacun de continuer son parcours… Avant que de se retrouver à nouveau, pour donner suite aux prétendues révélations publiées par le « Canard enchainé » à propos des salaires pour emploi fictif dont aurait bénéficiée Pénélope Fillon, l’épouse du candidat de la droite à la présidentielle. Et Antonin Lévy d’analyser avec beaucoup de lucidité la situation : « Tout repose sur un article satirique de presse. Même si c’est toujours habilement écrit, bien des affaires sorties par le Canard se sont terminées par un non-lieu ».
La suite donc pour bientôt… Mais qui est Antonin Lévy ?
« « Fils de », explique-t-il lors d’un reportage, c’est un état de fait qui perdure depuis toujours, un état détestable que de n’être que cela ! »
Néanmoins, et quoi qu’il fasse, avant que d’être lui-même, il est le fils d’un philosophe au charisme de vedette mondialement connu.
Il est aussi le demi-frère de Justine Lévy, un auteur à succès de plusieurs romans aux titres révélateurs eux aussi de cette même entrave : « Rien de grave », « La Gaité » ou « Mauvaise fille ». Et si sa mère, Sylvie Boucasse n’est pas connue au bataillon, (même si elle aurait mérité de l’être selon son fils), sa belle-mère Arielle Dombasle complète avec bonheur l’image « subliminale-blim-blim » du tableau de cette famille lourde à porter !
Pas si pesante comparée au « dessein » qu’il se trace tout seul comme un grand : « Beau mec », éblouissant talent, intelligence et vivacité d’esprit hors du commun, ce jeune Zorro défend avec bonheur, depuis des années maintenant, à la pointe de son épée, non seulement des célébrités de tous horizons mais sa propre personne et la légende exceptionnelle dont il compte bien la nimber…
http://www.purepeople.com/article/antonin-Lévy-parcours-du-fils-de-bhl-avocat-beau-gosse_a123161/1