« Quand on ose, on se trompe souvent. Quand on n’ose pas, on se trompe toujours. » (Romain Rolland)
Si l’on devait décrire cette période tourmentée, je dirais : « timides éclaircies accompagnées de rayons de soleils téméraires perçant ici et là un épais brouillard. » Nous voilà sortis de notre bulle, pensant que ce que nous avons vécu à l’échelle planétaire n’était qu’un drôle de rêve. Hélas non, le souvenir ne nous quitte pas, le nuage noir plane toujours au-dessus de nos têtes. Pour couronner ce fameux Corona, voici venu le temps des décisions historiques pour notre jeune état en convalescence économique. L’Amérique de Trump ne comprend plus rien à l’Israël de Bibi. Tu veux ou pas ? Sinon tant pis… Or Bibi aspire, avant tout, à être inscrit dans les livres d’histoire de notre bouillonnant pays. Comme toujours, notre Premier ministre n’a ni le luxe ni le privilège de s’occuper uniquement d’un seul dossier, la souveraineté. Car tout ici est priorité ! La santé d’abord, qui fluctue à chaque nouvel allègement. L’économie qui vacille, avec son million de foyers en suspens. On était si fiers de notre croissance et de notre taux de chômage quasiment nul. Au même moment, l’alya s’emballe, la demande est folle, et le pays si fragile. L’Iran avance sournoisement dans ses intentions destructrices. Les jeunes mariés Bibi & Benny semblent déjà connaître des problèmes de Shlom Bayit. Les frontières d’alors, sources de vie et d’Eldorado touristique restent malheureusement fermées…
Pour lire la suite …
https://www.cafeyn.co/fr/publication/lph-new/21609997