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Hamas leader in exile Khaled Meshaal greets members of the Palestinian family of Kamal al-Nayrab, the killed leader of the Popular Resistance Committees in Rafah, southern Gaza Strip on December 10, 2012. Exiled Hamas chief Khaled Meshaal left Gaza after a historic first visit to the tiny Palestinian enclave.Photo by Abed Rahim Khatib / Flash 90 *** Local Caption *** ????
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Hamas leader in exile Khaled Meshaal greets members of the Palestinian family of Kamal al-Nayrab, the killed leader of the Popular Resistance Committees in Rafah, southern Gaza Strip on December 10, 2012. Exiled Hamas chief Khaled Meshaal left Gaza after a historic first visit to the tiny Palestinian enclave.Photo by Abed Rahim Khatib / Flash 90 *** Local Caption *** ???? ??? ???? ???? ??????? ???????? ??????? ???????

Les faussetés antisionistes véhiculées par les post-sionistes

Emmanuel par Emmanuel
février 21, 2016
in A LA UNE, INTERNATIONAL
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J’ai traduit pour les lecteurs de Dreuz ce texte de Gil Troy publié sur le site J.Post le 9 février dernier.

De même que les boues toxiques s’infiltrent dans les eaux souterraines, les toxines anti-sionistes empoisonnent toute discussion normale sur le sionisme.

Le dernier exemple de la façon dont la campagne qui vise à délégitimer Israël sape insidieusement le récit sioniste est un article sérieux, non-polémique paru dans le New York Times qui cite pas moins de neuf sionistes et aucun antisioniste.

Cet article de Steven Erlanger intitulé « Qui sont les véritables héritiers du sionisme ? » reflète la nouvelle « normalité » : une incapacité à parler de l’histoire sioniste sans lui accoler le récit du malheur national des «Palestiniens».

De plus en plus, consciemment ou inconsciemment, de nombreuses élites américaines, y compris des intellectuels juifs, deviennent des perroquets, au pire, de l’école (anti-) histoire sioniste de Yasser Arafat ou au mieux de l’école moins génocidaire mais tout aussi erronée du post-sionisme.

margulies.terror

Tout comme les ingénieurs en environnement construisent des barrières d’argile pour empêcher l’infiltration dans le sol et protéger les eaux souterraines, nous avons besoin de l’éducation sioniste de fond pour détecter et réfuter ces distorsions.

Le sionisme a la vérité et l’équité de son côté.

L’histoire américaine ne concerne pas seulement les Amérindiens ou les Afro-américains – et l’histoire du sionisme n’est pas l’histoire des Palestiniens.

L’article du Times commence par l’accusation selon laquelle « le sionisme n’a jamais été la plus douce des idéologies ».

Le retour du peuple juif dans sa patrie biblique et la reprise de la souveraineté juive sur son territoire ont toujours porté en eux le déplacement de ceux qui vivaient déjà sur le terrain.

Erlanger ajoute alors cette perversion bizarre, cette déformation de l’histoire sioniste :

« La première version de sionisme fait reposer la création d’une nation juive sur la revitalisation de la langue hébraïque afin d’unifier l’immense variété de juifs dispersés. Au début des années 1920 et surtout avec l’Holocauste, suggère Bernard Avishai … est venue l’idée de «sionisme politique », qui nécessitait à la fois un État et une armée pour protéger les Juifs contre l’antisémitisme et pour les transformer en un État moderne, prêt à se défendre et, si nécessaire, à défier le monde. »

Cette folle chronologie de Erlanger revient à commencer l’histoire de la république américaine avec Andrew Jackson dans les années 1820, trois décennies après George Washington et Thomas Jefferson.

Même Avishai dans sa Tragédie du sionisme contredit Erlanger lorsqu’il parle des sionistes politiques du XIXe siècle tels que Leo Pinsker et Theodor Herzl.

Avishai confirme que pour ces « sionistes politiques, l’objectif principal consistait à créer l’appareil d’État lui-même.»

Faisons attention : voici deux tranches subtiles concoctées par des esprits aiguisés, et non pas les brusques coups de canon habituels tirés sur Israël.

Prendre les idées de Ahad Ha’am à l’extrême confine à nier la nécessité politique, impérieuse pour les juifs, d’avoir un État.

Ahad Ha’am, le sioniste préféré des libéraux américains – et le rival de Herzl – imaginait qu’Israël serait un centre spirituel et culturel plus qu’un État juif souverain.

Il souhaitait « unifier … les Juifs » culturellement.

Herzl était plus politique, populaire et prémonitoire quant à la nécessité pour les Juifs de s’autodéterminer – bien que Ahad Ha’am ait mieux anticipé la dynamique contemporaine entre la Diaspora et Israël.

Tout en délégitimant le sionisme, l’argumentaire de style post-sioniste neutralise la nécessité historique d’un État juif.

Sa lecture de Theodor Herzl, hors du contexte des débuts de l’histoire du sionisme, facilite l’idée de faire porter le blâme au sionisme comme étant le grand méchant loup qui a chassé les Arabes.

C’est ici qu’entrent en jeu les thèses de l’école historique d’Arafat qui «palestinisent» l’histoire sioniste.

Herzl envisageait que les Juifs et les Arabes vivraient ensemble pacifiquement – mais sa préoccupation majeure était la survie des Juifs et la rédemption nationale juive.

Le fait de reconnaitre la domination de Herzl dans les forces sionistes dominantes, oblige les observateurs à voir la douceur du sionisme dans cette vision optimiste et généreuse du vivre en paix avec les Arabes – cette idée de racheter le monde par le rachat des Juifs.

Mais la police du politiquement correct (PC) a décrété que même si le nationalisme juif a été forgé en opposition à l’antisémitisme européen, le sionisme doit être décrit en termes de nationalisme palestinien.

Et même si le nationalisme palestinien a été forgé en opposition au nationalisme juif, il doit être décrit dans ses propres termes, pour valider son allégation d’avoir une conscience nationale de longue date, en dépit de l’ancien nomadisme, du tribalisme et de l’hostilité permanente des «Palestiniens».

Sans chercher à rabaisser le nationalisme palestinien – parce que je sais combien il est pénible que les autres insultent mon expression nationale – il est un fait que le sionisme s’est épanoui à partir d’une vision entretenue pendant 3 500 ans par la communauté juive et son désir aiguisé par 2.000 ans d’exil de revenir, et de se reconstruire.

Les antisionistes n’arrivent pas à choisir entre l’accusation selon laquelle les juifs prétendent qu’aucun arabe ne vivaient en Palestine, ou l’accusation selon laquelle les juifs sont venus exprès pour les intimider.

Le sionisme n’est pas un nationalisme européen typique.

La plupart des habitants de la Palestine étaient des arabes – mais ces nomades tribaux ne possédaient pas une conscience nationale et ils étaient les descendants de musulmans qui avaient déplacés les juifs lors de la conquête du 7e siècle.

Le binationaliste de la gauche sioniste Martin Buber, dans son livre, Israël et Palestine : l’histoire d’une idée (1952), a dit que le sionisme est unique, en ce que « ce concept national a été nommé d’après un lieu et non pas, comme les autres, d’après un peuple», mettant l’accent sur « l’association avec un pays particulier, la terre natale» du peuple juif et, à la différence des « concepts nationaux des autres peuples, » le sionisme « n’était pas invention nouvelle, n’était pas le produit des changements sociaux et politiques qui se sont manifestés pendant la Révolution française, mais simplement une continuation, la réaffirmation d’une réalité religieuse, populaire et séculaire, adaptée à la forme universelle de mouvements nationaux du dix-neuvième siècle.»

Le sionisme, conclut Buber, « était le saint mariage d’un peuple « saint » avec une terre « sainte », dont le point focal était le nom de Sion.»

Buber a compris que le sionisme n’était pas un mouvement national accidentel. Il n’a pas été relié par hasard à la terre d’Israël.

Et il n’a pas été motivé par la haine anti-arabe.

Le post-sionisme Ahad Ha’amiste nie les deux fondements du sionisme – la justification d’un État juif et les droits collectifs juifs à l’autodétermination.

L’approche du genre cherchez-le-coupable du « professeur » Arafat – un tissu de fausses accusations qu’on cherche à inscrire dans l’histoire fondatrice d’Israël – fait de l’histoire un dossier d’accusation et cherche à mobiliser les blâmons-d’abord-Israël, traitant le sionisme comme une forme artificielle et intrinsèquement agressive de nationalisme.

En niant notre histoire de base et nos droits fondamentaux, les Palestiniens et leurs facilitateurs révèlent qu’ils ne sont pas simplement impliqués dans des escarmouches d’une guerre frontalière qui pourrait être réglée par des compromis faciles.

Leur guerre est une guerre existentielle visant à détruire l’Etat juif.

Et pour ce qui est de notre droit fondamental de vivre, les Israéliens ne peuvent pas faire de compromis.

******************************************************

Ma conclusion

Pour revenir sur l’idée des «boues toxiques» de Gil Troy, j’aimerais rajouter une observation.

À la fin des années 80, alors que j’étais revenue de ma visite en Israël, j’ai eu l’occasion de discuter avec une américaine qui travaillait au consulat des États-Unis à Montréal.

Elle m’apprit que depuis quelques temps déjà, des porte-paroles «palestiniens» faisaient des tournées dans les campus universitaires américains et donnaient des conférences pour plaider la cause palestinienne et présenter leur version de «l’occupation des territoires palestiniens» par Israël.

À ma connaissance, les communautés juives au Canada ou aux USA n’ont pas réagi à cette époque, et Israël non plus.

Dès lors que la première Intifada a commencé, les relais dans les médias étaient fin prêts pour démoniser l’armée israélienne, montrant que le travail de sape des «conférenciers» propalestiniens portait ses fruits.

C’est à l’occasion de cette «révolte des pierres» que j’ai commencé à critiquer la couverture médiatique biaisée avec d’autres personnes et avec l’appui du Comité Canada -Israël.

Éventuellement, David Ouellette et le CIJA ont pris la relève.

La dure vérité, c’est qu’Israël n’a jamais fait ce qu’il fallait pour contrecarrer la propagande palestinienne, particulièrement en Amérique du Nord, là où c’était le plus important.

Avec la deuxième intifada et l’affaire Al-Dura, Philippe Karsenty est entré en scène pour dénoncer cette fabrication d’un clip pallywoodien présenté comme authentique par France 2 et Charles Enderlin. Mais le mal était fait.

La plupart des médias de masse ne parle toujours pas de Philippe Karsenty et ne toucherait pas l’affaire Al-Dura avec des pincettes même si leur vie en dépendait.

La communauté juive nord-américaine a commencé à s’animer un peu à cause du mouvement BDS, mais sans les tournées de Philippe Karsenty, l’Affaire Al-Dura serait enterrée depuis longtemps.

Depuis environ cinq ans, l’ISGAP (Institute for the Study of Global Antisemitism and Policy) fait venir des conférenciers à l’Université McGill et s’active sur les grands campus universitaires nord-américains pour contrer l’antisémitisme.

Récemment, le professeur israélien Emmanuel Navon a fait une tournée de deux semaines sur les campus américains grâce à des organisations juives telles que Hillel International et les Jewish Federations of North America.

Les choses commencent à changer mais les propagandistes propalestiniens et leurs sympathisants gauchistes (post-sionistes et mouvement BDS) ont une longueur d’avance.

© Magali Marc (@magalimarc15) pourDreuz.info.

Au centre du terrain : comment « l’école Yasser Arafat » de l’histoire sioniste empoisonne le récit du sionisme.
– Gil Troy (9 février 2016, J.post.com)

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