A l’approche du 6e anniversaire de l’Opération anti-terroriste Tsouk Eitan, et alors que la famille Goldin accentue ses pressions sur le gouvernement, le Hamas montre qu’il veut garder la main et qu’il sait user et abuser du cynisme le plus immoral. C’est l’organisation terroriste qui dicte ses conditions à l’Etat d’Israël.
Le Hamas a fait savoir que toute transaction avec Israël devra commencer par la libération de tous les terroristes libérés en 2011 lors de la transaction Shalit et remis en prison après l’enlèvement et l’assassinat des trois adolescents. On sait qu’une partie des terroristes libérés en 2011 avaient reprise des activités terroristes ce qui ne constituait pas une surprise.
Un haut responsable du Hamas a averti lundi Israël « qu’il a les moyens et les cartes en main pour obliger Israël à libérer ses détenus ».
Photo Hassan Jedi / Flash 90