Une question de société épineuse a été tranchée aujourd’hui par la Cour suprême, 20 ans après le recours déposé à son sujet.
Il s’agit de la problématique des enfants adoptés qui ne sont pas juifs. Jusqu’à maintenant, un couple qui voulait adopter un enfant non-juif devait répondre à plusieurs critères qui garantissaient que l’enfant serait converti suivant la loi orthodoxe.
Entre autres, la famille d’adoption devait manger cacher, respecter Shabbat et scolariser ses enfants – y compris l’enfant adopté – dans le système public religieux. Les familles qui ne remplissaient pas ces critères devaient renoncer à l’adoption ou n’adopter que des enfants juifs.
En outre, les couples homosexuels étaient d’emblée éliminés.
Ainsi, seuls les couples religieux pouvaient prétendre à l’adoption d’un enfant non-juif afin de s’assurer que ce dernier deviendrait bien juif selon la hala’ha.
En 2003, un recours a été déposé devant la Cour suprême par le mouvement libéral. Le reproche fait à la méthode en vigueur était qu’elle ne prenait pas en compte le bien de l’enfant, qui souvent possède un lourd passé et pour lequel l’adoption est la seule manière de vivre une vie équilibrée et de se construire un avenir. Le mouvement libéral demandait donc d’annuler les conditions préalables pour adopter un enfant non-juif et de ne plus contraindre la famille adoptive de passer par le rabbinat orthodoxe pour obtenir la conversion de l’enfant.
Vingt ans plus tard, le 14 mars dernier, la Cour suprême a rendu un délibéré dans lequel elle reprend à son compte les critiques du mouvement libéral et s’oppose à la méthode appliquée par l’Etat jusqu’à aujourd’hui. Elle a demandé que les décisions relatives à ces enfants non-juifs soient adoptées au cas par cas. Le 24 mars, l’Etat a accepté la proposition de la Cour suprême qui a rendu son verdict définitif aujourd’hui (dimanche). Ainsi, le critère de la religion ne sera plus pris en compte dans l’attribution des enfants à leur famille adoptive.
Les neuf juges de la Cour suprême qui ont rendu ce verdict ont écrit: »Nous nous félicitons de la réponse de l’Etat. Nous réitérons ce qui va de soi: dans le domaine de l’adoption d’enfants, comme dans tous ceux qui touchent aux mineurs, le principe qui nous guide est celui du bien de l’enfant. Le bien de l’enfant est celui de l’enfant particulier avec tout son contexte, son passé, ses caractéristiques et ses difficultés. Dans ce domaine, il convient de procurer la réponse optimale pour chaque enfant qui a commencé sa vie dans des conditions non optimales qui doivent être réparées du mieux possible ».
N’importe quoi, ont née juifs point, ce qui ne le sont pas ne le seront à jamais.
Vous n avez pas encore compris que cette maudite cour supreme est tout ce qui est anti-halakha ? Vivement que cette reforme soit adoptee et qu on en finisse avec ces « rachas ».
La conversion existe depuis longtemps dans le judaisme heureusement.
Le bien de l’enfant avant tout ! Qui oserait penser autrement ? Certainement pas un juif qui se respecte !!! Pour les autres, qu’ils se débrouillent avec leur conscience et le peu d’humanité qui leur reste !
Si l enfant vit dans un foyer juif, son bien est de le convertir surtout si les parents adoptifs savent qu il n est pas ne juif. Mais ca, c est trop pour vous de le comprendre avec vos idees tordues!
Hazak
un enfant adopté qui se converti au judaisme est foutu , tout le monde le sait , même la cour suprême israélienne , d’autan plus que certains juifs de souche comme david kevin sont foutus d’être nés juifs , foutu parce qu’il ne vit que dans la haine de certains juifs .
Il n y a pas de problème si il n est pas juif et que les parents veulent qui le soit et ben il se convertira
Si les parents s en foutent et ben ç est pas grave ils ne seront pas juifs
La cours suprême est anti religieux juifs mais les orthodoxes eux ne suivent pas la cours suprême ils suivent le beth din la alaha
La cours suprême est composée de vendus de gauche qui veulent juste garder leurs privilèges à n importe quel prix …Faire plaisir a leur orgueil est leur but et non celui de faire evoluer la lois.
La loi est juste que la mère transmet la religion n en déplaisent aux anti juifs de la gauche israélienne (et du monde…). Il y a d autres pays si la loi d Israël ne leur convient pas comme gaza ou l algerie etc…
La loi d Israël est celle qui a gardée le peuple juif durant tous ces millénaires et qui a fait évoluer le monde dans l humanité ne serait ce qu avec ses 10 commandements…
Ces bobos prétentieux de gauche sont les chevaux de Troie des ingérences étrangères belligérantes en Israël 🇮🇱
Bravo à la Cours Suprême pour sa décision Juste
et Respectable.Décision Acceptée d’ailleurs par le
Gouvernement.
Heureusement que la Démocratie et la Liberté Existent
Encore dans notre Pays.
Tout ce qui ne vous plait pas est évidemment de
Gauche.
Avec Levin, et bien sur l’accord de Bibi,c’est une Dictature
que l’on veut nous imposer.
Mais Cela ne passera pas.
Ben oui cette Basse Cour fait tout ce qui est contraire à nos valeurs juives…
si je trouve, à juste raison qu’il est abusif d’obliger les parents à se soumettre à des règles religieuses strictes…
je trouve vraiment abusif que l’enfant dans un foyer juif, petit, ne soit pas converti.
Où est le « bien » de l’enfant quand, en grandissant, il se ressentira différent des autres à l’école, au Lycée, à l’armée …, et probablement non circoncis,
Il se ressentira entre deux chaises, mal à l’aise et mal intégré !!
encore une fois on voit ce que vaut la cour suprême!!!et qu’il est grand temps de mettre de l’ordre dans leur approche; dès qu’il s’agit de soutenir les déviations de la société israélienne et ses ennemis, plus elle est présente pour voler au secours de notre soit-disant démocratie et planter les graines de ceux qui seront nos futurs ennemis qui pourriront la société israélienne de l’intérieur. Plus il faut s’opposer à la halacha et à la Tora qui nous donnent droit à recevoir ce pays et à y vivre, plus elle répond « présente »!…
Je rajouterai que je suis consciente qu’il y a un pb; qu’on donne alors ces enfants à des familles non-juives qui sont assez nombreuses en Israël pour ceux qui remettent en question la loi pré-existante à cette décision. De Toutes façons quand ces enfants sont grands, ils auront le choix lucide de dire oui ou non à l’identité religieuse qu’on leur a imposée! ce qui n’est pas le cas pour tout enfant juif qui naît! même non choix pour l’identité biologique de l’enfant (malgré les délires de notre époque!!!), et pour l’âme qui va s’incarner dans le corps du futur nouveau-né ! Un peu plus complexe si on lit les textes ésotériques!) car sans ces textes-là, on ne comprend pas les évènements que vit le peuple juif et leur sens profond…La liberté de l’homme est plus limitée qu’on ne le croit et reste à être définie!…
la cour suprême israélienne apparemment ne s’interesse qu’aux intérets particuliers et non à l’intéret général du peuple juif .
Le gouvernement israélien doit répliquer en faisant savoir n’est pas obligé de suivre cette décision parce qu’il est à la tête d’un état juif , parce que israel est un état juif !
Dans la loi précédente, seules les familles ultra orthodoxes pouvaient adopter un enfant non juif. Aussi bien les familles traditionalistes que les juifs de courant libéral ne pouvaient adopter un enfant non juif.
Le bonheur d’un enfant serait-il en relation avec le degré de religion pratiqué dans sa famille ?
Les mêmes qui s’offusquent dans ce post et critiquent la Cour Suprême ne seraient pas éligibles à l’adoption d’un enfant… ce qui n’est pas totalement faux lorsqu’on constate le degré de bêtises écrites me direz-vous.
Personnellement, je pense que ce serait ajouter un traumatisme pour l’enfant d’être adopté par une famille ultra orthodoxe, au traumatisme d’être orphelin ou abandonné par ses parents biologiques. Je vous rappelle également que les enfants à l’adoption sont rarement des nourrissons, qu’ils peuvent avoir même 10 ans et plus et qu’ils ont déjà un vécu, et pas toujours drôle.