Les Egyptiens ne prennent pas de gants avec les terroristes. Le Caire a interdit au chef du Hamas, Ismaïl Hanyeh, de revenir du Qatar vers la bande de Gaza. Les Egyptiens avaient très mal pris le subterfuge effectué par le chef du Hamas après l’élimination du général iranien Qassem Suleimani. Ismaïl Hanyeh avait été autorisé à quitter la bande de Gaza par le passage de Rafiah mais à condition qu’il ne se rende ni en Turquie – ennemie de l’Egypte – ni surtout en Iran pour les obsèques de Suleimani.
Non seulement il a rompu sa promesse en se rendant dans ces deux pays mais il l’a fait de manière médiatisée en donnant une conférence de presse à Téhéran où il dénonçait la mort du commandant de la Force Quds qu’il avait appelé « Shahid de Jérusalem ». Sa présence à Téhéran avait aussi pour but de mendier des fonds au profit du Hamas.
Très irrités, les autorités égyptiennes ont décidé de réagir. Le ministre égyptien des Renseignements a sèchement signifié à Ismaïl Hanyeh qu’il pouvait rester au Qatar où il se trouve depuis son retour de Malaisie mais qu’il ne pourrait en tout cas pas retourner à Gaza. Depuis, le Hamas tente de faire intervenir des tiers pour changer la décision égyptienne mais jusqu’à présent le Caire ne veut rien savoir et souhaite donner une leçon au chef terroriste.
Ces facéties d’Ismaïl Hayneh avaient provoqué des tensions à la tête du Hamas, certains comme Khaled Meshaal, son prédécesseur, estimant qu’il avait inutilement provoqué la colère des Egyptiens en se rendant dans ces deux pays ennemis de l’Egypte.
Photo Mohamed Al-Ostaz / Flash 90
COMMENT DOUTER QUE LES CHEFS PALESTINIENS NON AUCUNE PAROLE.
CELA MÊME ENVERS LEURS PROTECTEURS.
EST CE LE CIEL QUI LEUR TROUBLE LA RÉFLEXION.
Bravo Président Al Sissi, excellente décision, Hanié pourra se rendre directement en Enfer et rejoindre les 72 Verges, à partir du Quatar.
Merci Président Al Sissi !
Les Palestiniens jouissent de la triste réputation de trahir leurs frères arabes, et même de les poignarder dans le dos. Les Palestiniens ont ainsi soutenu l’invasion du Koweït par Saddam Hussein en 1990, alors que cet État du Golfe et ses voisins, attribuaient chaque année, des dizaines de millions de dollars d’aide aux Palestiniens.
« Les Palestiniens sont une calamité pour tous ceux qui leur ouvrent les bras. La Jordanie les a accueillis et il y a eu Septembre Noir ; le Liban les a accueillis et il y a eu une guerre civile ; le Koweït les a accueillis et ils se sont transformés en partisans de Saddam Hussein. Les voilà qui utilisent maintenant leurs tribunes pour nous maudire. » – Mohammed al-Shaikh, écrivain saoudien, RT Arabic, 13 août 2019.