D’un pays à l’autre, d’un continent à l’autre, les centres d’intérêt divergent totalement. L’Australie n’en finit pas de brûler. Le triste bilan de ces feux est à présent de 24 morts, un demi-milliard d’animaux qui ont péri en quelques mois dans les flammes et des milliers d’hectares de forêt noircis.
Londres ne se remet pas de la déclaration du petit-fils de la Reine, Harry ”ha Gingi” et de sa femme qui ont décidé de se mettre en retrait financier de la famille royale, sans préavis. Vont-ils trouver un job ? Disney a déjà fait une proposition à Meghan, c’est rassurant. La presse s’enflamme. Elle réagit d’autant plus furieusement que ces jeunes tourtereaux sympathiques ne cessent de la snober. « Les deux enfants les plus gâtés de l’histoire » mettent le feu dans le royaume.
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En Iran, on a d’autres soucis. On a déjà oublié l’élimination de Qassem Souleimani. On ne parle que du missile sur l’avion ukrainien. Le peuple voudrait aussi en terminer avec Khamenei. Les citoyens ne supportent plus d’être bernés et spoliés depuis tant d’années par ces dirigeants sanguinaires et trompeurs. Cette fois-ci, les étudiants ne brûlent plus les drapeaux américain et israélien. Un tournant.
La bombe médiatique est tombée aux États Unis. D’après la NBC, Israël aurait aidé grâce à son service de renseignements, à la liquidation du chef terroriste iranien. Seul
Bibi aurait été dans la confidence. Il n’a rien laissé paraître, comme d’habitude. Une autre opération aurait été menée en parallèle, contre un autre responsable de la force Al Qods au Yémen mais elle a échoué. Le Mossad apparemment n’y était pas impliqué.
En Israël, même si le Kinneret a gagné un mètre, nous pansons les plaies du déluge. Des morts tragiques dans des conditions dramatiques, des dégâts couteux, des pluies
diluviennes jamais vues depuis 50 ans.
Les listes des troisièmes élections en un an se ferment et les chefs de parti se positionnent sur la ligne de départ, avec peu de changement. Le souci cette fois-ci : les spectateurs, moins nombreux et lassés par cette ancienne nouvelle course monotone. Les coups bas ont commencé, côté Liberman, l’homme qui nous aura fait perdre un temps précieux et beaucoup d’argent. Va-t-il de nouveau faire échouer la droite sur sa route vers le pouvoir ?
Allez, on tourne la page vers un nouveau livre, Chemot. Pour la première fois, Pharaon voyant en nous une menace, va nous désigner en tant que peuple, qui, du fin fond de l’Egypte, va naitre enfin.
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