Le coordinateur des activités du gouvernement dans les Territoires, général Kamil Abu Rukun, a révélé jeudi qu’Hani Al-Madjdalawi, le terroriste qui avait été abattu après avoir ouvert le feu sur des soldats de Tsahal près de la clôture de sécurité, travaillait comme personnel non-médical pour le compte de l’ONG française Médecins sans Frontières. MSF n’a souhaité faire aucun commentaire, mais le département civil du coordinateur s’est immédiatement adressé au siège de l’ONG pour obtenir des éclaircissements.
Médecins sans Frontières, qui emploie entre cent-cinquante et deux-cent personnes dans la bande de Gaza est contrairement à sa mission qui devrait être impartiale, une ONG qui a maintes fois montré son penchant ouvert pour la cause arabe palestinienne. Ce qui explique probablement qu’elle n’exerce pas un contrôle méticuleux des personnes qu’elle engage dans la bande de Gaza.
En 2009 déjà, lors de l’Opération Oferet Yetzuka (Plomb Durci), la présidente de MSF-France, Dr. Marie-Pierre Allie, avait déclaré que l’attaque israélienne sur la bande de Gaza était « menée dans le cynisme et avec particulièrement peu de respect pour les civils »!!
Lors de l’Opération anti-terroriste Tsouk Eitan, en 2014, MSF avait demandé à Israël de « cesser de bombarder des civils pris au piège et de respecter le personnel médical », au lieu de se tourner vers le Hamas qui utilise sa population comme boucliers humains. Avec culot, Nicolas Palarus, coordinateur de projet MSF à Gaza avait dénoncé « les bombardements indiscriminés (de Tsahal) contre des civils ». Il avait appelé Israël à « ne pas tirer à proximité d’ambulances et d’hôpitaux » alors que ces outils médicaux étaient utilisés par les terroristes du Hamas pour tirer en direction des soldats ou du territoire israélien.
Pire encore, MSF avait réalisé une vidéo particulièrement odieuse, intitulée « L’Impossible reconstruction » qui reprenait tous les thèmes de la propagande du Hamas.