Dans la mise en scène orchestrée aujourd’hui (samedi) lors de la libération des trois otages, le Hamas a poussé la cruauté en affichant une photo de l’otage Matan Zangauker et sa mère Einav avec le message: »Le temps presse ».
Einav Zangauker est devenue au fil du temps l’une des figures les plus connues de la lutte pour le retour des otages. Elle est en tête des manifestations contre la politique du gouvernement et pour faire pression sur celui-ci pour qu’il signe un accord de libération à tout prix.

Sur la scène était également affichés les noms des kibboutzim attaqués le 7 octobre.
En outre, l’inscription: »Il n’y a pas de transfert si ce n’est pour Jérusalem », était écrite, en guise de réponse au plan Trump de déplacement d’une partie de la population de Gaza vers l’Egypte et la Jordanie.
Comme lors des libérations précédentes, cette fois encore, une cérémonie cynique a eu lieu, au cours de laquelle un représentant de la Croix-Rouge a été invité à monter sur scène pour signer la libération des otages. Les trois otages libérés ont ensuite été sortis du véhicule et placés ensemble sur la scène à côté des terroristes armés. Cette fois encore, ils ont reçu un »sachet surprise » des mains des organisations terroristes et ont ensuite été contraints de parler au public – les médias israéliens n’ont pas diffusé ces propos.