Élection américaine : plusieurs chefs d’État ont salué la victoire de Joe Biden après le vote du 3 novembre 2020, tandis que Donald Trump se déclare invaincu (FranceInfo7 novembre 2020). Il serait en effet impensable que les dirigeants commettent l’impolitesse de remettre leurs compliments à plus tard dès lors que la quasi-totalité des médias du monde a élu Joe Biden président.
Cependant, on ne saurait déclarer vainqueur un candidat avant la fin du match, et encore moins le complimenter. Et quand bien même Joe Biden aurait plusieurs longueurs d’avance sur le président Donald Trump, l’élection américaine n’est pas terminée. À moins que la procédure ne soit interrompue pour fraude électorale, le lundi 14 décembre, ce sera au tour des grands électeurs de voter directement pour le président. Le dépouillement de leur vote aura lieu quinze jours plus tard au Sénat à Washington. Et c’est alors que le vainqueur sera déclaré tel, à condition qu’il remporte au moins 270 voix de grands électeurs sur les 538. Le président et le vice-président seront alors officiellement nommés.
Dans ces conditions, la question est : comment se fait-il que la plupart des médias du monde, de gauche comme de droite, y compris en Israël, aient déclaré Joe Biden président des États-Unis ? Comment interpréter la précipitation de la quasi-totalité des chefs d’États à s’incliner devant lui ?
Seuls quelques grands pays comme la Russie, la Chine, le Brésil et le Mexique se sont abstenus. Le porte-parole du Kremlin Dimitri Peskov a indiqué le lundi 9 novembre que Vladimir Poutine attendait l’annonce du résultat officiel pour féliciter le vainqueur : « Nous estimons correct d’attendre les résultats officiels de l’élection en cours. » « Nous avons pris note que M. Biden s’était déclaré vainqueur de l’élection. À notre connaissance, le résultat de l’élection sera déterminé par les lois et les procédures en vigueur aux États-Unis », a déclaré Wang Wenbin, le porte-parole du ministère des Affaires étrangères chinois. « Nous allons attendre que toutes les questions légales soient résolues. Nous ne voulons pas être imprudents », a assuré pour sa part Andres Manuel Lopez Obrador, le président mexicain, le 7 novembre.
L’élection est d’autant plus loin d’être terminée qu’il est question de la plus grande fraude électorale de l’histoire des États-Unis. Certains États ont plus de bulletins que de votants. Des myriades de bulletins ont dépassé la date limite. D’autres ont atterri dans les poubelles. Des milliers de morts se seraient même « déplacés » pour l’occasion… la liste est longue.
Si les accusations de fraude sont confirmées et que Joe Biden est déclaré perdant, quel sera le discours des chefs d’État ? Ignorent-ils les fortes présomptions de fraude ? Ne disposent-ils pas de services de renseignement informés ?
L’ampleur de cette mise en scène et son orchestration planétaire inquiètent. À la différence de la Chine et de la Russie qui, bien que n’étant pas réputées être des alliés traditionnels des États-Unis, se sont abstenues, le Premier ministre israélien Benyamin Netanyahou a manifesté sa reconnaissance en jetant Trump aux loups pour féliciter Biden, ce qui choque plus d’un Israélien après les forts témoignages d’amitié et le soutien actif du Président Trump pour l’État d’Israël. Comment en effet ignorer les efforts et la contribution de l’administration de Trump pour restaurer l’identité profonde d’Israël et lui offrir des accords de paix avec des pays arabes autrefois ennemis, un mérite que semble s’être attribué Binyamin Netanyahou ?
Pour cette révolution de la politique internationale, l’administration Trump s’était mis à dos tous les États du monde : « [Le plan de paix du président Trump] a commencé avec la reconnaissance de Jérusalem comme capitale d’Israël, le déménagement de l’ambassade, la reconnaissance du plateau du Golan comme faisant partie du territoire souverain israélien, la reconnaissance que les communautés israéliennes en Judée et en Samarie ne sont pas illégales » (ambassadeur David Friedman, Israel Hayom, repris par Arutz Sheva le 21 octobre 2020).
Lorsqu’une partie de l’Amérique piétine la démocratie américaine avec la bénédiction des nations, n’est-ce pas les peuples qu’on prive de représentation ? Et ceux des médias qui désinforment et saluent l’élection de Joe Biden au mépris des lois électorales, à qui obéissent-ils ? Quelle confiance les peuples peuvent-ils avoir en de tels porte-parole ? Qui peut résister si le président des États-Unis lui-même ne peut se maintenir face à un tel coup d’État – coup planétaire, faudrait-il dire ?
Le président Trump a montré une honnêteté, une persistance et un courage dans son action qui devraient servir d’exemple. Malheureusement, les forces qui prennent le dessus aux États-Unis comme dans le monde semblent motivées par d’autres valeurs, ce qui aura des répercussions non seulement sur la nation d’Israël, mais dans le monde. Si la victoire de Joe Biden se confirme sur la base d’une fraude massive des votes dans le pays le plus puissant du monde, alors les forces qui agissent derrière lui seront capables de procéder à l’identique à l’échelle mondiale.
Ce scénario apocalyptique n’est pas une catastrophe en soi. Il trouve ses sources dans les enseignements des sages de la Torah. C’est une épreuve qui s’impose au monde afin de démasquer ceux des empires et des idéologies qui ont voulu supplanter et nier la volonté du Créateur. Autant d’élections frauduleuses qui ont traversé les différents empires pour imposer une dictature et une mise en esclavage des peuples. Mais pour notre délivrance, nous sommes aussi au temps de l’écroulement de toutes ces puissances : la fin des empires.
Selon le Yalkout Chimoni (Midrach Isaïe 49-50) : « Et Israël aussi crie et s’affole : où irons-nous nous réfugier ? Où irons-nous nous réfugier ? Alors Dieu leur dit : Mes enfants, n’ayez crainte. Tout ce que j’ai fait, je ne l’ai fait que pour vous. Pourquoi avez-vous peur ? Ne craignez rien, le temps est venu de votre délivrance. Et la délivrance ultime ne sera pas comme la première. Car lors de la première délivrance (l’Égypte), vous avez souffert et ensuite, vous fûtes aliénés à des empires. Or pour la dernière délivrance, il n’y aura plus ni souffrance ni aliénation aux empires. »
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Il est temps que les médias israéliens se réveillent et ne crient pas avec les loups démocrates contre Trump, celui qui a été notre bienfaiteur. Netanyahou n’a pas bien joué sur ce coup là, il aurait pu se montrer plus sage.
Cette élection restera une première du genre, elle prouve que la machine de guerre des fascistes « Démocrates » qui ont utilisé toutes sortes de manipulations et d’arnaques pour la voler, avec l’appui des patrons de médias et des réseaux sociaux qui se sont transformés en censeurs faiseurs d’opinion, pour finaliser le projet totalitaire de voler l’élection présidentielle au peuple américain, manipulé comme jamais.
Ce qu’il faudra retenir aussi de toutes ces falsifications, c’est le rôle joué par les chaines de télé, en particulier, celles qui ont coupé l’intervention de TRUMP, le Président élu des Etats-Unis, parce qu’il exprimait des choses qui ne leur plaisaient pas, avant que l’une d’entre elles ne proclame la victoire de Biden, annonce reprise par tous les médias planétaires, et devenue depuis, l’expression officielle de l’élection de Biden, avant l’heure.
Bibi, le Micron et bien d’autres, se sont rués sur cette infaux pour féliciter Biden le vainqueur autoproclamé.
Mieux, les médias devenus des redresseurs de torts, réclament de plus en plus violemment, le départ de TRUMP le mauvais perdant, et exigent qu’il dégage de la Maison Blanche, sinon, « on » l’en sortira par la force.
Les plateaux de télé squattés par des zexperts et des « spécialistes » sont unanimes dans leur désir de voir partir ce président grossier, mal éduqué et ringard, et proclament très discrètement, que son bilan « n’est pas mauvais » avec comme dessert, une accusation à peine voilée, de sa responsabilité dans la covid 19.
Durant la campagne présidentielle, les médias américains ont étouffé tous les sujets concernant la corruption de Hunter Biden, aidé par son père dans des magouilles financières, et surtout, l’Obamagate, ainsi que les cambriolages organisés par Hillary, lors de sa campagne présidentielle dont elle ne s’est toujours pas remise.
Aux USA comme un peu partout dans le monde, les médias ont « mauvaise presse » (sans mauvais jeu de mot) et elles viennent de perdre le minuscule crédit dont elles bénéficiaient encore auprès de certains.
Il faudra détruire définitivement les dérives de ces tyrans qui veulent contrôler les pensées et les consciences des peuples, selon leurs volontés totalitaires et leur vision très particulière de la gestion d’un Etat démocratique, première puissance planétaire, qui plus est.
Il ne faut pas s’attendre à ce que les fascistes « Démocrates » le fassent…
Et pour l’élection de 2016, il aurait aussi fallu attendre la mi-décembre ? Pourtant à part Newsmax ce sont les mêmes médias….
Netanyahu s’allie aux Milliardaires pétroliers pour aider les Azéris et jette Trump aux Loups…pour….QUOI ?
C’est bien pire que ce qu »il aurait fait selon la Cour Suprême d’Israël!!!!
Sinon c’est Incompréhensible!!!
Leq des sont jetés. Biden sera malheureusement reelu, et se bercer d’illusions est une perte de temps.
Jankel: oui, vous abvez raison, la politique d’Israel est parfois incompréhensible./ La raison est que nous ne savons que peu de choses des affaires, seulement ce que nous dit une presse douteuse. Mais le pire n’est pas tjs certain. gardons cette belle prediction en memoire:
Alors Dieu leur dit : Mes enfants, n’ayez crainte. Tout ce que j’ai fait, je ne l’ai fait que pour vous. Amen !