Le syndicat des enseignants en Israël (histadrout hamorim) a officialisé aujourd’hui son conflit avec le ministère des Finances. Au coeur des disputes, l’accord pour la révision des salaires des enseignants.
Dans les deux semaines qui arrivent, le syndicat peut déclarer une grève dans le primaire et une partie des collèges. Selon le syndicat, le ministère des Finances traine des pieds pour acter cet accord qui serait indispensable afin de limiter le phénomène de départ des enseignants.
Selon Yaffa Ben David, la secrétaire générale du syndicat, à la rentrée il manquera près de 8000 enseignants en Israël. Elle prédit un tsunami de démissions de la part des enseignants déjà en poste. ”Les parents ne doivent pas avoir peur de la grève mais du fait que l’année scolaire ne pourra pas commencer en raison du manque d’enseignants”, a-t-elle déclaré.
Le syndicat en appelle au ministre Avigdor Liberman pour accélérer les négociations et acter l’accord sur les salaires.
La honte.
Les enseignants n’ont pratiquement pas travaillé pendant 2 ans à cause de la pandémie – et leur salaire n’a pas été touché.
En tant qu’éducateurs ils devraient se taire pour que ce gouvernement survive.
Ils sont représentés par une espèce de sauvage insatiable qui ne sait plus quoi demander.
En reconnaissant que leurs salaires ne sont pas des plus élevés – mais ils ont des compensations.
Ils ne sont pas bibistes pour la plupart – et devraient être conscients du danger de son – à Dieu ne plaise – retour et défendre le gouvernement actuel.