L’agence de l’ONU pour les réfugiés palestiniens, l’UNRWA, revient au coeur des débats sécuritaires en Israël avec un nouvel avertissement du Shabak lors d’une réunion à huis-clos de la commission Affaires étrangères et sécurité de la Knesset.
Cette réunion traitait de trois propositions de loi visant à freiner l’action de l’agence en Israël.
La représentante du Shabak autour de la table a averti: ”L’UNRWA représente un danger sécuritaire pour l’Etat d’Israël et c’est pourquoi il est important de fermer cette agence”.
Malgré cet avertissement qui fait suite à plusieurs autres depuis le 7 octobre, le gouvernement n’a toujours pas pris de décision claire sur la question, apparemment pour des raisons de droit international. En effet, les représentants du ministère des Affaires étrangères et du conseil de sécurité nationale affirment que ”la promotion d’une législation trop agressive sur le sujet de l’UNRWA pourrait entrainer des mandats d’arrêt internationaux contre des cadres politiques israéliens”.
Les trois propositions de lois qui sont examinées par la commissions sont les suivantes:
- Loi proposée par Boaz Bismuth: dispose l’interdiction faite à l’UNRWA de fonctionner depuis le territoire souverain de l’Etat d’Israël. Elle n’aurait pas le droit de posséder de représentation, de fournir des services ou d’exécuter toute action, directement et indirectement. Cette loi entraine la fermeture des bureaux de l’UNRWA à Jérusalem.
- Loi proposée par Yulia Malinovsky: dispose de définir l’UNRWA comme une organisation terroriste et l’arrêt de tout contact, direct ou indirect, entre Israël et l’UNRWA.
- Loi proposée par Ron Katz et Dan Illouz: dipose de lever l’immunité et les droits dont jouit l’UNRWA en tant qu’agence des Nations Unies. Cette disposition concerne aussi bien les employés de l’agence que ceux qu’elle emploie de l’extérieur.
A l’heure qu’il est la proposition du député Bismuth est la seule qui sera adoptée compte-tenu des contraintes juridiques exposées par les conseillers du ministère de la Justice et des Affaires étrangères.
Le député Yuli Edelstein, président de la commission Affaires étrangères et sécurité, a expliqué qu’une législation en la matière était indispensable pour clarifier les relations entre Israël et l’UNRWA dont tout le monde sait le rôle dans la promotion du terrorisme palestinien. Il s’est étonné du fait qu’aujourd’hui, Tsahal coopère avec l’UNRWA pour la campagne de vaccination des enfants gazaouis contre la polio alors que parallèlement on demande à sa commission d’étudier les manières de faire cesser les activités de l’agence onusienne controversée.
Soyez forts, restez fermes, cette entité doit non seulement être fermée définitivement mais aussi mise en justice pour collusion avec des entités terroristes.
Aucun bras ne devra faiblir, car les otages morts en captivité le doivent probablement à L’UNRWA.
Après, il faudra s’occuper de L’ONU et de sa tête de file dont les amitiés avec Yasser Arafat, devront être expliquées en détails.
L’ unrwa , la façade présentable du hamas aux yeux des occidentaux. Alors qu’il s’ agit de l’ un des bras des terroristes palestiniens, souvent armé.
Comment se fait-il que cette agence ne soit pas encore définitivement fermée en Israël ?
Combien de temps faudrait-il ou de morts pour faire cesser le fonctionnement de cette agence qui sert le terrorisme, car c’est ce qu’on appelle ‘un cheval de troyes’ ?
Vous faites une double erreur.
La première erreur concerne le lieu. Le “Cheval de Troie”, une histoire célèbre de la Grèce antique (Iliade) qui permit à Ulysse de pénétrer par ruse dans la ville de Troie (Turquie) entraînant sa capitulation.
La seconde erreur tient à l’interprétation “terroriste” que vous donnez au “Cheval de Troie”. Ce ne fut en rien une opération terroriste, tout au contraire. elle fut la réponse glorieuse d’Ulysse à l’enlèvement d’Hélène, épouse du roi de Sparte, par un terroriste Troyen.
Oui, les politiques en Israel ont peur de leur ombre.
Ils craignent des sanctions de l’international.
La direction de l’etat devrait leur etre retiree de toute urgence.
Des félons antisémites les mettre de hors, nuisibles criminels.
Hazak Shabak, ve Nètsa’h.
bravo
“la promotion d’une législation trop agressive sur le sujet de l’UNRWA pourrait entrainer des mandats d’arrêt internationaux contre des cadres politiques israéliens”
Et selon quels critères ces mandats d’arrêt pourraient-il être émis ???
L’ONU a déjà un organisme pour la défense et la protection des réfugié(e)s (l’UNHCR), pas besoin de la création d’un organisme spécifique pour les “Palestinien(ne)s” si elles et ils étaient réfugié(e)s, mais en plus, elles et ils NE LE SONT MÊME PAS !!!!
Si on parle de droit international, on parle de justice !
Et l’antisémitisme est un concept INCOMPATIBLE avec la justice !
Il est temps de mettre un terme définitif à cette comédie et de dire les choses comme elles sont !
Nos sommes la cible de mandats internationaux alors même que nous respectons et faisons même bien davantage que ce qu’exige le droit international, alors ça suffit ! Israël doit cesser de se tirer tout seul des balles dans le pied ! Ça suffit !
On n’a rien à craindre, on doit arrêter de courber le dois, par contre, on doit contre-attaquer ! Et ce n’est pas en perpétuant un mensonge, en ayant peur de REVENDIQUER NOTRE LÉGITIMITÉ SUR TOUT ISRAËL, Y COMPRIS LA BANDE DE GAZA que nous amélioreront notre situation, BIEN AU CONTRAIRE !!!!!!!!!!!!!!!!!!
Plus nous le faisons, plus nous envoyons l’image d’un peuple qui n’est pas sû de sa légitimité dans ce pays et qui n’est pas sûr d’être juste !
Et si nous envoyons une telle image de nous-mêmes, que nous ne nous étonnions pas que les autres nous mettent en cause ! C’est nous qui faisons cela en nous montrant trop hésitant(e)s !
La situation militaire est INCOMPREHENSIBLE et elle semble due à Bibi qui fait le malin en gardant Gallant et Herzi haLevy, à moins que Gallant ait quelque chose qui fait qu’il ne peut être viré. Bibi avance entre une position qui tient la sécurité d’Israël et une autre qui cède en même temps de tous côtés. Il met réellement le pays en danger. Quelque chose n’est vraiment pas clair dans son action et ses décisions.
Il ménage la chèvre et le chou, il a peut-être quelque chose qu’il craint d’ être divulgué. Il faut à la fin le condamner, pour crime de guerre, car tous les jours à cause de ces tergiversations, nous apprenons la mort de deux ou trois de nos enfants soldats.
La politique du ministère des Affaires étrangères est classique ; ne pas faire de misère à autrui pour ne pas avoir d’ennui soi-même. Rarissimes sont les diplomates qui ont une épine dorsale.
Céder à l’ennemi est une capitulation mais pour un diplomate c’est faire une bonne manière.