Le cruel général Qassem Soleimani, commandant de la Force Quds iranienne avait été éliminé par les Américains en janvier 2020. Un an et demi après, il s’avère que l’opération américaine a été rendue possible grâce aux services de renseignements israéliens qui avaient réussi à obtenir les numéros de téléphone qu’utilisait Soleimani, ce qui a permis aux Américains de le localiser au moment où il avait atterri à Bagdad.
Se sachamt menacé, le général iranien avait changé à trois reprises de téléphone portable dans les six heures précédant son vol pour la capitale irakienne, mais rein n’échappe aux yeux d’Israël. Depuis Tel-Aviv, des représentants du commandement opérationnel de l’armée américaine suivaient les déplacements de Soleimani et surent exactement quand il avait atterri à Bagdad. L’ordre alors fut aux donné aux forces spéciales qui se trouvaient à quelques centaines de mètres du lieu de l’éliminination. Un drone fut lancé dans les airs pour se retrouver au-dessus du convoi de Qassem Soleimani, des missiles « Hellfire » ont fait la suite. Les forces spéciales américaines attendaient pour intervenir au cas où les choses ne se dérouleraient pas comme prévu.
L’un des véhicules du convoi avait tenté de s’enfuir mais un sniper américain ainsi qu’un missile « Hellfire » l’ont stoppé.
Lors de cette opéarion, outre le général Soleimani, deux autres chefs terroristes avaient été éliminés : Mahdi al-Muhandes, le commandant-adjoint des milices chiites pro-iraniennes en Irak (Al-‘Hashd a-Sh’abi) ainsi que le commandant des Brigades du Hezbollah irakien.
Photo illustration