Le jeune journaliste Yaïr Cherki, fils du rav Ouri Cherki, est l’un des meilleurs exemples de la lente mais positive évolution qui se déroule dans le monde médiatique israélien. Très professionnel, Yaïr Cherki a commencé sa carrière à la radio, sur Galei Tsahal avant d’entrer dans le « petit écran » et devenir spécialiste des affaires religieuses pour la chaîne Arout2 (aujourd’hui 12 et 13). C’était la première fois qu’une chaîne de grande audience présentait sur le plateau un journaliste portant kippa crochetée et papillottes bien en vue!
Yaïr Cherki vient d’être récompensé par le Centre mondial du mouvement de la B’nai B’rith pour la série documentaire télévisée qu’il a réalisée dans les milieux orthodoxes new-yorkais, « Brooklyn shel Kodesh ». Cette série en cinq épisodes a été diffusée à des heures de grande écoute et a bénéficié d’un important rating. La B’nai B’rith lui a remis le Prix d’excellence dans la catégorie « Judaicités de diaspora et relations entre Israël et diaspora ».
Félicitations à ce jeune journaliste qui a encore une grande carrière devant lui, aux côtés de toute une nouvelle génération de journalistes qui réhausseront à n’en pas douter le niveau des grands médias qui dominent la scène depuis trop longtemps et se déconnectent de plus en plus des réalités du pays.
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