Personne n’est dupe et tout le monde sait que le Hezbollah a été pris par surprise et avec effroi par le déclenchement de l’opération Bouclier du Nord. Tout comme le Hamas au sud d’Israël, l’organisation terroriste chiite voit aujourd’hui s’effondrer, dans tous les sens du terme, son arme stratégique « fatale », celle avec laquelle il comptait envahir la Galilée, et qui a été construite année après années avec des sommes phénoménales en provenance d’Iran.
Afin de rassurer les troupes et ne pas perdre trop de crédit, le Hezbollah, tout comme le font les autres organisations terroristes, profère des menaces et fait des déclaration guerrières. Après quelques jours de silence, un haut responsable du Hezbollah s’est exprimé, mais sans évoquer ce qui se passe à la frontière israélo-libanaise. Naïm Qassem, le bras droit de Hassan Nasrallah, intreviewé par un quotidien iranien, a prévenu que les missiles dont dispose le Hezbollah peuvent aujourd’hui atteindre avec précision n’importe quel point en Israël, y compris Tel-Aviv. Malgré l’initiative israélienne face aux tunnels souterrains, Naïm Qassem a dit « qu’Israël ne prend plus aucune initiative et ne fait que réagir tant il est paralysé par l’effet de dissuasion que lui impose le Hezbollah depuis la fin de la 2e Guerre du Liban en 2006 » (sic).
Samedi, le ministre de la Construction et du Logement Yoav Galant a une nouvelle fois prévenu que si le Hezbollah s’aventurait à agir militairement contre Tsahal pendant l’opération Bouclier du Nord, « le Liban reviendra à l’âge de pierre ».
Photo porte-parole Tsahal
arrêtez de parler sans réfléchir. vous avez dit la même chose au sujet de gaza et gaza est toujours debout et plus guerrie que jamais alors arrêtez de dire ce que vous ne ferez pas c’est humiliant a la fin vous êtes des peureux