Comme c’est de tradition, les condamnations pleuvent sur Israël qui ne fait que défendre sa frontière comme le ferait n’importe quel pays en bien pire.
Mais aucun de ces pays donneurs de leçons ne prend la peine d’analyser ce qui se passe et de poser les bonnes questions, dont celle-ci: que font des enfants en bas-âge et des bébés dans les émeutes organisées par le Hamas, soumis au bruit, à la fumée des pneus qui flambent et risquant de mourir à chaque moment? C’est ce qui est arrivé à un bébé de huit mois, qui a succombé lundi, officiellement après avoir inhalé du gaz lacrymogène. Il se pourrait aussi qu’il ait inhalé de la fumée des feux allumés par les émeutiers. Mais peu importe: si cette petite fille est morte, c’est que sa mère l’avait amenée au « front », au contact des soldats de Tsahal.
Quelle mère juive risquerait ainsi la vie de son enfant ou de son bébé? On connaît déjà ces mères arabes palestiniennes qui expriment leur fierté lorsque leur fils est mort en « shahid », de préférence après avoir tué quelques Juifs. Et qui clament qu’elles sont prêtes à sacrifier leurs autres enfants. Amener son bébé dans une zone à hauts risques n’est ni plus ni moins un crime contre l’enfance commis par ces mères imbibées de haine, un crime qui n’entraîne d’ailleurs aucune réaction de l’Unicef ou des organisations de défense des droits de l’homme.
Ont dit que tous les hommes sont égaux. Il y a toutefois des écarts de civilisation et de sens moral qui crient vers le ciel.
Dans leur tentative de réécrire l’Histoire, les Arabes palestiniens affirment qu’ils sont les descendants des Cananéens. C’est historiquement et génétiquement faux, mais ils ont tout de même hérité d’une tradition chère à cette peuplade antique: sacrifier leurs propres enfants.
Photo Abed Rahim Khatib / Flash 90