On commence à en avoir l’habitude, les grands rendez-vous culturels internationaux sont souvent l’occasion pour les ennemis d’Israël de se mettre en avant.
On se souvient des films pro-palestiniens primés à différents festivals internationaux, notamment.
L’année dernière, le Festival de Cannes avait été marqué par le boycott des acteurs arabes israéliens du film »Let It be Morning » (Vayehi Boker) qui voulaient protester contre le fait que leur film soit présenté comme un film israélien.
Cette année, il aura fallu attendre les derniers jours du Festival pour assister à un nouveau tour de force des Palestiniens à Cannes. La réalisatrice Maha Haj, originaire de Haïfa, a présenté son film »Mediterranean Fever » dans le cadre de la partie »Un autre Regard » du Festival de Cannes. L’histoire se déroule à Haïfa mais aucun Juif, ni même aucune référence à Israël n’y figurent.
Seuls deux passages évoquent Israël: lorsque le héros arrive à l’hôpital avec son fils et que l’infirmière – une juive – les oblige à déclarer leur religion et dans une autre scène le fils du héros raconte s’être disputé avec son professeur sur le fait de savoir si Jérusalem était la capitale d’Israël ou de la Palestine.
Si le film, en lui-même, n’est pas à proprement parler politique, les sous-entendus ne manquent pas et la prestation de Maha Haj à Cannes a donné le ton.
Lorsqu’elle a pris la parole sur la scène, elle a tenu à dédier son film à la journaliste d’Al Jazeera, Shireen Abou Akleh. »Shireen était une icone, une excellente journaliste, et une fille aimée de Palestine. Il y a deux semaines, elle a été assassinée. On lui a tiré en pleine tête parce qu’elle faisait son travail alors qu’elle relatait une nouvelle injustice de l’occupation. Ils ont tué la narratrice mais l’histoire continue ».
Ses paroles ont été chaleureusement applaudies par la salle. Dans une interview au magazine Variety, elle a expliqué son choix de ne présenter aucune référence à Israël dans son film: »Lorsque l’on parle de Haïfa, en général on pense à la coexistence, mais ce n’est pas la Haïfa que je présente dans mon film, parce qu’il n’y a pas d’Israéliens. On y voit la Haïfa historique qui a été occupée en 1948. Les quartiers ont été désertés, les gens ont du fuir. C’est la Haïfa que j’ai voulu montrer ».
Par ailleurs, Haj a indiqué qu’elle avait refusé tout financement israélien, bien qu’elle aurait pu en recevoir, afin que son film ne soit pas présenté comme »israélien ». Elle a utilisé des fonds palestiniens, qataris, français, allemand et chypriote.
Maigre consolation: cette fois, ce n’est pas avec l’argent du contribuable israélien que le nom d’Israël aura été dénigré dans un événement culturel.
Rien d’étonnant. Il est sûr qu’il n’y a rien à tirer de ces gens. Il faudra bien à un moment donné et opportun prendre la décision légitime et définitive qui s’impose dans ce genre de situation.
Rien d’étonnant, puisque ceux là sont pro-terroristes depuis des décennies !!!
Ah que c est beau le cinema !!! Instruisez vous un peu avant d ecouter des terroristes :
Il est indispensable de connaître les faits et il est obligatoire de les partager !
Quels dirigeants israéliens ou palestiniens sont nés en Palestine ?
Les dirigeants israéliens :
1. Benjamin Netanyahu, né le 21 octobre 1949, à Tel Aviv.
2. Ehud Barak, né le 12 février 1942, à Mishmar Hasharon, mandat britannique, en Palestine.
3. Ariel Sharon, né le 26 février 1928, dans le village de Malal, mandat britannique, en Palestine.
4. Ehud Olmert, né le 30 septembre 1945, à Binyamina, Givat Ada, mandat britannique, en Palestine.
5. Yitzhak Rabin, né le 1er mars 1922, à Jérusalem, mandat britannique, en Palestine.
6. Yitzhak Navon, président de l’État d’Israël, 1977-1982, né le 9 avril 1921 à Jérusalem, mandat britannique, en Palestine.
7. Ezer Weizmann, président de l’État d’Israël de 1993 à 2000, né le 15 juin 1924 à Tel Aviv, mandat britannique, en Palestine.
Les Dirigeants arabes palestiniens :
1. Yasser Arafat, né le 24 août 1929, au Caire, Égypte.
2. Saeb Erakat, né le 28 avril 1955, en Jordanie, de nationalité jordanienne.
3. Faisal ‘Abd al-Qader al-Husseini, né à Bagdad, en 1948, en Irak.
4. Sari Nusseibeh, né en 1949, à Damas, en Syrie.
5. Mahmoud Al-Zahar, né en 1945, au Caire, Egypte.
Par conséquent, les dirigeants israéliens, nés en Palestine, sont « des colons ou des envahisseurs » alors que les dirigeants arabes palestiniens, nés en Égypte, Syrie, Irak ou Tunisie sont des « Palestiniens indigènes » ?!
Voici de brefs faits sur la lutte autour du conflit Israélo-Palestinien, aujourd’hui :
Cela vous prendra peu de temps à lire mais ces faits ont du sens et sont justes, peu importe que l’on soit Juif ou pas !
1. Israël est devenu un État en 1312 avant JC, soit environ 2000 ans avant l’islam.
2. Les réfugiés arabes en Israël ont commencé à s’identifier comme Palestiniens en 1967, environ 20 ans après la création de l’État moderne d’Israël.
3. Après la conquête du pays, en 1272 avant J.C, les Juifs ont gouverné le pays pendant 1000 ans et en présence continue depuis 3300 ans.
4. La seule domination arabe, après la conquête en 635 avant notre ère, n’a duré que 22 ans.
5. Pendant plus de 3 300 ans, Jérusalem a été une capitale Juive et n’a jamais été la capitale d’une entité arabe ou musulmane ! Même les Jordaniens, quand ils ont conquis Jérusalem, n’en ont pas fait leur capitale et les dirigeants arabes ne l’ont pas visitée !
6. Jérusalem est mentionnée plus de 700 fois dans la Bible et pas une seule fois dans le Coran !
7. Le roi David a fondé la ville de Jérusalem alors que Mahomet n’y a jamais été !
8. Les juifs prient, le visage face à Jérusalem alors que les musulmans prient, le visage face à la Mecque. Si les musulmans sont entre Jérusalem et La Mecque, ils se tournent vers la Mecque pour prier, tournant ainsi le dos à Jérusalem !
9. Réfugiés arabes et juifs.
1. En 1948, les dirigeants arabes ont encouragé les réfugiés arabes à quitter Israël en leur promettant de purger la terre des habitants juifs !!!
2. 68% d’entre eux se sont échappés, sans voir aucun soldat israélien.
10. Les réfugiés juifs ont été contraints de fuir les pays arabes en raison de la violence, des persécutions et des pogroms qu’ils subissaient dans les pays Arabes.
11. Le nombre d’Arabes ayant quitté Israël en 1948 est estimé à environ 630 000 personnes. Les Juifs, réfugiés des pays arabes, sont estimés au même nombre. Les réfugiés arabes n’ont pas été délibérément absorbés par les pays arabes, malgré leur immense territoire. Sur les 100.000.000 de réfugiés dans le monde, depuis la IIème guerre mondiale, les palestiniens composent le seul groupe qui n’a pas été absorbé ou intégré dans les pays de leur peuple ! Les réfugiés juifs ont tous été absorbés, en Israël, un état aussi grand que le New Jersey !
12. La lutte israélo-arabe. Les Arabes ont 8 états, sans compter la Palestine. Il y a un seul état juif. Les Arabes ont déclenché 5 guerres, qu’ils ont toutes perdues. Israël s’est défendu à chaque fois et a toujours gagné !
13. La Convention du Fatah exige toujours la destruction d’Israël. Israël a donné aux Palestiniens une majorité de territoires en Cisjordanie, sous la direction de l’Autorité palestinienne, qui a fourni des armes aux palestiniens.
14. Pendant le règne jordanien, des lieux saints juifs ont été pillés et les Juifs se sont vus refuser le droit d’y accéder. Depuis que les israéliens règnent sur Israël, tous les sites musulmans et chrétiens sont préservés et ouverts à tous !
15. Israël et les Arabes à l’ONU.
1. Sur 175 résolutions du Conseil de Sécurité, jusqu’en 1990, 97 ont été votées contre Israël.
2. Sur les 690 résolutions de l’Assemblée Générale, jusqu’en 1990, 429 ont été votées contre Israël.
3. L’ONU est restée silencieuse lorsque 58 synagogues de Jérusalem ont été détruites par les Jordaniens.
4. L’ONU est restée silencieuse lorsque les Jordaniens ont profané l’ancien cimetière juif du Mont des Oliviers.
5. L’ONU est restée silencieuse lorsque les Jordaniens ont appliqué des politiques comme l’apartheid qui empêchaient les Juifs d’accéder au Mont du Temple et au Mur Occidental.
Ce sont des temps terribles. Nous devons nous demander quel devrait être notre rôle. Que dirons-nous à nos petits-enfants sur nos actions ? Nous devons réagir et rétablir la vérité !
Commencez dès maintenant !!
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