Dans le cadre d’une réunion de la commission intergouvernementale pour la restitution des biens culturels à leurs propriétaires d’origine (Unesco), la délégation arabe palestinienne a poursuivi son combat révisionniste et démontré une nouvelle fois sa fourberie. Elle a exigé que soient « restitués » par Israël à l’Autorité Palestinienne les rouleaux et parchemins trouvés dans la région de la Mer Morte, au motif « qu’ils appartiennent au patrimoine palestinien ».
Hormis le fait que le « patrimoine palestinien* est une vue de l’esprit, on imagine aisément ce que l’Autorité Palestinienne ferait de ces documents d’une importance historique majeure, notamment ceux découverts récemment et qui attestent du lien primordial entre le peuple juif, Jérusalem et la Mont du Temple.
L’ambassadeur d’Israël à l’Unesco, Carmel Shama-Hacohen a accusé l’Autorité Palestinienne de « s’être livrée à une nouvelle démonstration de son insolence » et a averti: « Tout comme Jérusalem et le Mont du Temple, ces documents resteront en mains israéliennes ».
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