L’Arabie Saoudite a félicité l’Australie pour être revenue sur sa décision de reconnaitre Jérusalem comme capitale de l’Etat d’Israël.
Dans un communiqué publié par le ministère australien des Affaires étrangères, l’Arabie Saoudite a également appelé à promouvoir la création d’un Etat palestinien: ”L’Arabie Saoudite appelle la communauté internationale à intensifier ses efforts pour parvenir à une solution juste sur la question palestinienne et la création d’un Etat palestinien indépendant avec Jérusalem Est comme capitale, en conformité avec l’intiative de paix de la ligue arabe. L’Arabie Saoudite continuera à soutenir le peuple palestinien et se tiendra à ses côtés”.
UN FAUX AMI OU UN VRAI ENNEMI?
Nous assistons a une une déroute diplomatique. Comme si nous n’apprenions jamais de l’expérience vécue.
Les Arabes et les musulmans – a minima – n’aiment pas les Juifs – plutôt même – nous haïssent convaincus que nous sommes les spoliateurs. Et ceux qui ne nient pas la Shoah, pensent, sans doute, “qu’on ne l’a pas vole”.
La Torah et l’Histoire démontrent sans la moindre ambiguïté que cette Terre est la Terre des Juifs. Mais il y a 2000 ans, nous en fumes expulses et ceux qui ont pris physiquement notre place disent – au mieux – certes, c’était a vous mais ce n’est plus le cas et – au pire – “nous les Arabes, musulmans, nous avons une mémoire de 1500 ans et donc vos histoires vielles de 2000 ans ne nous concernent pas. Au demeurant, ce modèle de transfert de propriété n’est pas l’apanage des seuls Juifs.
Alors qu’y a t’il a négocier et avec qui. La seule réalité qui s’impose et que les Juifs, avec l’aide de D’, se battent pour gagner et non pas pour convaincre. Toutes les mains tendues par les Juifs mais aussi par les Français, les Anglais et les Américains aux Arabes-Musulmans se sont toujours retournées contre nous avec violence et mauvaise foi. Et accessoirement, l’Australie tombe dans le même piège (comme les Français avec l’Embargo de 1967), ils croient acheter les bonnes volontés Arabes-Musulmanes pour, en fin de compte, alimenter les histoires drôles dans les mosquées.