L’ambassadeur des Etats-Unis en Israël a tenu lui-aussi à féliciter le président Donald Trump pour sa déclaration de mercredi soir. Il a souligné avec raison le leadership du président américain “qui a tenu bon face aux critiques et menaces venues du monde entier et a pris une décision qui va dans le sens de la vérité et de la justice”: “Jérusalem est aujourd’hui la capitale d’Israël tout comme elle le fut il y a 3.000 ans”.
A l’opposé, les réactions en Europe sont irrationnellement négatives. La ministre des Affaires étrangères Federica Mogherini, qui s’était déjà exprimée mercredi, a surenchéri jeudi en avertissant que la reconnaissance de Jérusalem comme capitale d’Israël “risquait de faire revenir le monde à une situation plus sombre encore que celle que nous vivons actuellement”!! Et comme toujours avec cet équilibrisme de mauvais aloi, elle a appellé toutes les parties à la “désescalade”…
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Mme Federica Mogherini, la ministre des Affaires Étrangères de l’Union Européenne, pour autant que ce titre ait une signification, est à la hauteur de ses prédécesseurs, du Parlement européen et à celle de la politique d’hospitalité de l’Union Européenne envers les millions d’immigrants économiques et de musulmans qui sont décidés à importer en Europe la mentalité archaïque et conquérante du VIe siècle, au détriment des populations européennes : une fossoyeuse de plus de l’Europe, une destructrice de ce qu’avait accompli la Communauté Économique Européenne. Mais elle ressent probablement l’ivresse, l’orgueil du beau titre, le sentiment que ce qu’elle dit s’inscrit dans l’Histoire. Elle doit en user ses miroirs à se regarder préparer des déclarations.
La fatma Federica Mogherini, dimmisée (elle a mis le voile sans qu’on le lui oblige), qui a serré la main de l’Iranien héritier d’Hitler.
Elle n’en peut plus devomir son anti-juivisme et son anti-israelisme.
Puisse-t-elle griller en Enfer quand son heure sera venue.