Un nouveau désaveu cinglant pour tous ceux qui s’évertuent encore à prétendre que le conflit israélo-palestinien est de nature territoriale et qu’il suffirait de gestes de bonne volonté de la part d’Israël -avec quelques dizaines de milliers de Juifs expulsés de chez eux – pour voir arriver la paix tant attendue…
En évoquant les prochaines élections annoncées par Abou Mazen, Ziyad Al-Nahla, dirigeant du Jihad Islamique, a expliqué que la participation de son organisation à ce scrutin exprimera une position très nette qui est celle de la non-reconnaissance d’Israël et de la poursuite de la lutte armée contre « l’occupation ». Puis il a ouvertement rappelé sa définition du conflit : « Ce conflit ne concerne pas un petit territoire géographique. Il s’agit d’un conflit historique, un conflit sur toute la terre de Palestine. Notre Jihad et nos yeux sont tournés vers Jérusalem, jusqu’à sa libération ».
Une définition qui est aussi celle de toutes les autres factions terroristes, y compris celle du Fatah d’Abou Mazen, même si ce dernier ne le dit pas ouvertement quand il s’adresse à la communauté internationale en langue anglaise.
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