Le 30 novembre a été fixé par le gouvernement israélien comme le jour de commémoration de l’exode de près de 900.000 Juifs d’Afrique du Nord, du Proche-Orient et d’Iran suite à la création de l’Etat d’Israël. La date du 30 novembre a été fixée ainsi pour sa proximité avec le 29 novembre qui marque la proclamation du plan de partage de la Palestine par l’ONU en 1947.
Cet exode bien réel a été étouffé par la propagande arabe qui a réussi à imposer à la conscience internationale le narratif mensonger des « réfugiés palestiniens » et qui l’entretient savamment encore aujourd’hui.
Des cérémonies ont eu lieu non seulement en Israël mais aussi aux Etats-Unis, au Canada, au Chili, en Bosnie, en Albanie et même au Ghana!
Cette journée à été l’occasion d’expositions, conférences, films, musique et témoignages dans le but d’éveiller les consciences sur ce problème douloureux trop longtemps occulté.
Depuis la décision gouvernementale de 2014, une intense activité diplomatique est déployée par le ministère des Affaires étrangères pour mettre en exergue que des centaines de milliers de Juifs des pays musulmans ont été chassés ou poussés à partir en laissant derrière eux tous leur biens, souvent confisqués par les autorités des pays arabo-musulmans. Ainsi, Israël prépare activement un dossier en vue de la reconnaissance de ces Juifs comme réfugiés et afin qu’ils puissent obtenir, eux ou leurs descendants, des dédommagements pour leur biens.
Mardi aura lieu une cérémonie dans le cadre de l’ONU en présence de la ministre Guila Gamliel, très active sur ce dossier.
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