Voilà plus d’un siècle que le terrorisme arabe frappe à nos portes. Bien avant la création de l’Etat d’Israël, et aujourd’hui encore, les actes de haine et de violence sont perpétrés chaque jour contre une population civile silencieuse. Contre des femmes, des vieillards et des enfants innocents. Une situation intolérable et intenable pour un peuple qui désire vivre en paix et cohabiter pour toujours avec ses voisins arabes.
Les dernières attaques terroristes à Jérusalem s’inscrivent dans une série d’attentats sanglants qui ont débuté depuis plusieurs années. Ce n’est pas la première fois que des terroristes palestiniens, ici, ou en Europe, choisissent comme cibles, des fidèles juifs et des lieux de prière. Souvenons-nous de l’attentat au cœur de Paris, à la synagogue de la rue Copernic, du carnage au centre talmudique du Merkaz-Harav en mars 2008, où huit jeunes fidèles juifs avaient été tués ; et le massacre en 2016, à la synagogue du quartier Har-Nof : huit juifs harédims ont été massacrés sauvagement.
Nous sommes confrontés à de multiples actes de terrorisme, dont certains sont perpétrés par des individus apparemment isolés et des jeunes adolescents. Mais en réalité, il n’existe pas dans la société palestinienne des « loups solitaires » et ces actions ne sont pas commises par des gens insensés ou des malades mentaux. Leurs actes sont la conséquence de l’incitation à la haine orchestrée par les dirigeants palestiniens.
La haine du juif existe dans les écoles, dans les universités et à la télévision officielle et surtout sur les réseaux sociaux. Mahmoud Abbas joue à chaque fois la victime et menace de rompre la coordination sécuritaire. Qu’il cesse de prononcer des discours différents, l’un belliqueux en arabe, et l’autre « modéré » destiné à l’opinion internationale. Ce double langage hypocrite est inadmissible. Pire encore, il refuse de condamner les derniers attentats et tient Israël responsable de l’escalade. Comment peut-il être un partenaire pour la paix ?
Tous les chefs palestiniens ont raté tous les rendez-vous de l’Histoire. Ils n’ont pas changé de visage ni d’objectif. Hier comme aujourd’hui, leur but est le même : le terrorisme est le seul moyen pour chasser les Juifs sionistes de Palestine. Une guerre d’usure et de religion inspirée par des groupes islamistes de tous bords, sunnites et chiites, téléguidée par les Ayatollahs à Téhéran ou par les Frères musulmans.
Les derniers attentats à Jérusalem s’inscrivent dans une guerre dont l’objectif est de faire flotter l’étendard islamique sur le Mont du Temple. Les cris de vengeance, de joie et d’allégresse, la distribution de friandise, après chaque attentat meurtrier prouvent que deux civilisations s’affrontent. Deux cultures opposées. Deux écoles de pensée contradictoires : celle d’un judaïsme aux valeurs universelles, de la sagesse, la tolérance et de la prière sincère, face à un intégrisme musulman, ignoble et abject. Une barbarie et une cruauté qui n’ont pas de nom. Comment donc expliquer que de jeunes Palestiniens ou mêmes des Européens soient inspirés par l’organisation de l’Etat islamique, par ces bourreaux qui coupent les têtes comme du bétail devant les caméras au nom d’un Dieu méchant et tout puissant.
Chaque matin, particulièrement la veille du shabbat, nous entendons des paroles incendiaires de la part de muezzins et de prêtres musulmans. Ces déclarations haineuses et provocantes dûment amplifiées par d’énormes haut-parleurs persistent en prônant le culte de la mort et la haine du Juif. Comment réconcilier “les fils d’Abraham” et vivre en coexistence avec nos voisins les plus proches, comme le souhaitent les chancelleries, si nous ne mettons pas un terme à ce déferlement de haine aveugle et ne luttons pas ensemble contre l’intégrisme.
Il ne suffit pas de condamner seulement les actes terroristes après chaque attentat. Il faut aussi combattre la haine du juif, celui qui vit en Israël ou en diaspora. Chaque attentat terroriste contre un sioniste doit être considéré comme un acte antisémite. Nous devrions inscrire sur une liste noire chaque organisation terroriste comme le Hamas ou le Hezbollah, tous ceux qui prônent la destruction de l’Etat juif. L’amalgame des médias est intolérable. Tsahal combat des terroristes sanguinaires et les Palestiniens attaquent des civils innocents. C’est une énorme différence.
Chaque jour, nous déjouons des intentions d’attentats et arrêtons chaque nuit des commanditaires, auteurs et suspects. Grâce aux informations précieuses du Shin Beit, de nombreuses attaques terroristes ont été déjouées, dont des bombes humaines ; des centaines d’attentats furent avortés durant l’année 2022, grâce à un renseignement technologique sophistiqué.
L’Etat juif est en légitime défense et dans le droit absolu de mener un combat, sans pitié et sans merci, contre tous les ennemis de tous bords, contre tous ceux qui veulent nous rayer de la carte. Les mesures draconiennes prises par le cabinet de sécurité sont légitimes pour contrer les menaces et éradiquer le fléau.
La nation israélienne et avec elle la diaspora entière est toujours unie et solidaire dans les moments douloureux de crises et de conflits. Cette solidarité doit être ancrée dans nos esprits malgré les différentes opinions politiques et les divergences idéologiques. Mettons un terme à la panique et au déchainement des passions.
Non ! La démocratie israélienne n’est pas en danger, elle est vivace. Notre économie est solide et la majorité écrasante de la population est heureuse de vivre en Israël. Dans ce climat malsain et explosif un dialogue entre le gouvernement et l’opposition est nécessaire, urgent. Les manifestations sont certes légales mais elles peuvent dégénérer sur des violents affrontements fratricides. Le combat contre le terrorisme et la sécurité de tous les Israéliens prévalent sur la passion des réformes.
Aux yeux de nos ennemis et de nos détracteurs, la division, le rejet aveugle et insensé, entre droite et gauche, religieux et laïcs, séfarades et ashkénazes, démontrent faiblesse et désarroi. L’engagement solidaire et notre union font la force de notre nation. Ce n’est que dans la fraternité et seulement ensemble que nous pourrions garantir la sauvegarde de notre seul et unique Etat.
Freddy Eytan
Source: jcpa-lecape
Je trouve à contrario que la haine avouée est préférable à celle dissimulée. On sait à quoi s’en tenir. En revanche, ne sont-ce les Juifs qui veulent prendre ces vessies pour des lanternes ? Ce sont eux qui veulent voir dans les déclarations d’extermination un sens figuré, une exagération, ou un langage interne électoraliste.
Mais NON ! ils pensent ce qu’ils disent et sont vrais !
Ça suffit de leur caresser le dos dans le sens du poil…
Et nous bercer d’illusions.
IL N’Y A RIEN À PARTAGER !
Tous les peuples occupés ont toujours haï les occupants !
Les palestiniens sont moins agressifs que les catholiques d’Irlande du Nord lorsqu’ils étaient occupés par les protestants anglais ! Ils travaillent dans la construction et dans tous les services municipaux !
Bien entendu, l’agresseur est toujours l’occupant.
Prenons deux exemples simples.
Lors de la dernière guerre mondiale, l’Allemagne a envahi de nombreux pays, dont la France, avec la volonté délibérée d’occuper ces pays. Le peuple français s’est mobilisé de façon à repousser l’agresseur dans une vaste organisation que fut la RESISTANCE. Ces français de l’ombre ont participé de manière très active, avec les pays alliés, à repousser l’agresseur, c’est à dire l’occupant, afin de libérer la France de l’occupation.
Plus récemment, ce fut la Russie qui engagea une guerre terroriste afin d’occuper et d’annexer l’Ukraine à la Russie.
Le valeureux peuple ukrainien se bat depuis un an pour libérer son territoire avec le soutien des nations libres et des institutions internationales, telles que l’ONU et l’OTAN. Ici encore, l’occupant est l’agresseur.
Enfin, pour conclure, le conflit Israël Palestine ne verra pas de solution sans l’évacuation par Israël des territoires qu’il occupe indûment et sans le respect strict des accord d’Oslo. Tant que cette condition ne sera pas satisfaite, ce conflit perdurera et la Communauté Internationale continuera de critiquer à juste titre Israël, cette critique n’étant pas de l’antisémitisme mais une juste condamnation d’un Etat dont le comportement est inacceptable.
Mr Heikki il est temps pour vous d ‘avoir un regard historique plus lucide et moins révisionniste. Vous devez être un lecteur assidu du journal le Monde ou du NYT très friand du nom «occupant», « colon » comme si Israël était l’Algérie et autre colonies françaises africaines. Comment occuper un pays qui n’a jamais existe. A ma connaissance les résistants français n’ont jamais utilise de bombe humaines contre des innocents Relisez donc attentivement la constitution de Hamas il ne demande pas la libération de Gaza ou de Ramallah mais la destruction d’Israël. L’ agresseur ce sont tous ces pays arabes qui pensaient pouvoir détruire notre pays mais en subit une défaite cuisante. Historiquement un pays qui perd la guerre ( en autre la Jordanie) se voit contraindre a des ajustements de frontières souvenez vous de L’Alsace et la Lorraine. Ne soyez pas un écho de la propagande de El Jazzeira qui dans une de ces émissions récentes prétendait qu’avant 1948 il n’y avait que 2000 juifs en Palestine un pays en plein développement grâce aux financiers arabes. Quand nous patrouillions la Judée et la Samarie je ne me souviens pas avoir vu des villages arabes verdoyants mais des kibboutzim des pionniers et pas des colons. SVP ne mentionnez pas L’ONU for connu pour ses multiples condamnation d’Israël pas de l’Iran du Venezuela et autres démocraties florissantes a leur image. Malheureusement la critique constante d’Israël par la Gauche et la Droite est en dérive vers un antisémitisme inacceptable. Les accords D’Oslo ne sont pas reflectes dans les discours des dirigeants terroristes ou dans les sermons des mosquées
Shoeg tout ce que vous dites est parfaitement exact et j’y adhère totalement, comme sans doute tous les Bibistes que je ne suis pas. C’est pourquoi je voudrais que soit mis fin au statu quo, par la séparation des Juifs et des Arabes et certainement pas sur les frontières de 67 ! Mais, pas non plus par l’annexion de la totalité de la Judée-Samarie. Je n’ai pas changé d’avis sur la nécessité d’un territoire palestinien démilitarisé. Une paix, même imposée et juste, est préférable à l’apartheid et aux massacres qui se profilent. Bien à vous.
Kevin je suis souvent d’accord avec vous mais svp n’utiliser pas le mot apartheid propage par le président Carter dans son livre dont il ne reste que cet adjectif qui fait fureur dans les universités. Comme vous j’avais l’espoir d’un pays voisin pacifique plus maintenant devant l’intransigeance de ces dirigeants corrompus. Je cherche un état musulman démocratique sans succès. La solution une confédération avec la Jordanie (Ex Transjordanie 80 % de sa population est déjà palestiniennes). Les frontières établis arbitrairement par la France et la Grande Bretagne n’ont rien de sacres.
Le massacre des juifs n’est plus aussi facile aujourd’hui que dans le passe.
Pardon de vous dire que vous êtes du mauvais côté de l’Histoire.
L’islamisme est un nouveau nazisme, les Juifs et l’Etat d’Israël sont des résistants.
il ne faut pas qu’Israel continue de donner des territoires qui ne serviraient que de base de lancement aux attaques terroristes. Oui il faut s’etendre dans la zone C de la Judee Samarie et detruire toutes les implantations illegales soutenues par Bruxelles financierement dans cette zone.
NON, Freddy Eytan, trop facile, votre pladoyer et trop commode votre argument ! Terrorisme et sécurité sont indissociables de la justice et de sa réforme, voulue par la coalition et non par l’opposition ! Ce ne serait donc jamais le moment pour s’opposer et toujours le bon pour réformer à la hussarde, par des mis en examen et autre condamné ?
« ´ Chaque matin, particulièrement la veille du shabbat, nous entendons des paroles incendiaires de la part de muezzins et de prêtres musulmans… »
Hallucinant que cela se passe en Israël ! J’espère que le nouveau Gouvernement va faire le nécessaire pour mettre un terme à l’inadmissible !
L’ambiguïté – aux niveaux différents – établirait par une perception sémantique calcifiée -et bien vouloir- des siècles et des siècles , où bien une inverti de sagesse …
qui ne se laisse pas encore évanouir dans une compréhension de sympathie…