A minuit dans la nuit de lundi à mardi cette semaine, le tav yarok sera annulé. Définitivement ou pas, l’avenir le dira.
A partir de mardi donc, cette attestation ne sera plus demandée nulle part. La fin de ce tav yarok marque un symbole, puisqu’Israël a été le pionnier et a donné des idées à bien d’autres pays, dont la France, avec cette méthode qui permettait d’une part de protéger la santé des citoyens et d’autre part, d’inciter les gens à la vaccination.
Désormais donc, ces deux objectifs devront être atteints par d’autres moyens, charge au ministère de la Santé de trouver lesquels.
Ce qui fait peur dans cette discrimination insensée du tav yarok, c’est moins les directives du pouvoir que l’incroyable docilité d’un taux considérable de la population. Ceci étant, il faut reconnaître que cette obéissance dans l’ensemble a été rendue possible parce que les gens ont cru bien faire. La preuve, c’est que dès qu’il s’est avéré que cette injection était inefficace et dangereuse (avec déni des autorités qui refusaient de reconnaître le lien de cause à effet entre les injections et les problèmes de santé), le nombre de participants a diminué considérablement. Plus de 600 000 personnes ne sont pas allées prendre leur deuxième dose, alors qu’en principe il avait été question dès le départ d’en prendre deux. Puis, quand, en juin, le fiasco a été évident, ce sont 1 500 000 environ d’Israéliens qui ont boudé l’expérience. D’autre pays, en revanche, qui avaient pourtant la réputation d’être libres, rebelles, auteurs de révolutions qui ont changé le monde, ont continué à être dociles bien après le constat de danger et d’échec. On aimerait que les responsables (coupables) et ceux qui ont incité les autres à servir de cobayes soient sanctionnés, mais on peut rêver. Chavoua Tov.
Excellent analyse. Bravo !
Quand bien même on me trouvera « méchant », je trouve que le troupeau a été bien trop docile et qu’il a fait le lit d’une discrimination. Comment ne pas s’apercevoir que cette docilité a permis aux « démocraties » de décréter des lois d’exception dignes des pires régimes dictatoriaux (bien que Dieu merci les gouvernements n’aient pas pu aller aussi loin).
Comment admettre l’intolérable ?
Comment les médecins, les « experts » (diseurs de bonne aventure) et les politiques ont-ils pu prendre de telles mesures ?
D’ailleurs cet article récent en est la preuve : https://lphinfo.com/omicron-sombres-previsions-des-chercheurs-de-luniversite-hebraique/. La propagande a fonctionné à fond.
SUR CE SUJET UNIQUEMENT, Ayelet Shaked, Yifat Shasha-Biton et Avigdor Lieberman ont eu raison depuis le début, malgré les critiques virulentes de tous les autres.
J’irai bien plus loin que vous ne l’avez été en parlant juste de sanctions, je parle de procès type NUREMBERG où des médecins, des politiques, des journalistes seront sur le banc des accusés et devront répondre de leurs crimes.
Sahvoua Tov.
M.Sultan: Je me suis fait vacciner non pas parce que le gouvernement nous y a poussés, mais parce j’y crois.
Idem pour le masque: il ne sera plus exigé, mais je le porterai car j’y crois, même si le gouvernement nous dit que ce n’est plus utile. Chacun de nous peut se tromper, mais il a cerveau, et c’est pour s’en servir. Nous ne sommes pas des moutons de panurge.
Libre à chacun d’utiliser son cerveau lefi hatspouno (selon sa conscience)
Bien d’accord avec vous 2. Comment vont-ils imposer l’identité numérique , vu le formatage de la population ? à suivre .
M Yacotito, vous ne m’apprenez rien. J’avais compris qu’il s’agissait d’une croyance mystique sans aucun fondement scientifique ou factuel. Les modérés, à court d’argument, parlaient de l’espoir que ces injections les sauveraient. Je me suis même heurté au fanatisme quand critiquer le fabricant ou ses complices du gouvernement s’apparentait pour certains à du blasphème.