Dans sa campagne continue pour asseoir sa légitimité internationale, l’Autorité Palestinienne a annoncé son intention de « lutter contre le financement du terrorisme international ». Le cabinet de Ramallah a adopté jeudi un « plan stratégique national de lutte contre le blanchiment d’argent et le financement du terrorisme » (sic). L’AP annonce vouloir notamment renforcer sa collaboration avec les instances internationales qui agissent dans ce domaine.
On se frotte les yeux devant ce qui aurait pu être un changement de cap radical dans la politique de l’AP. Mais que nenni. L’OLP et ses métastases ont toujours précisé qu’elles sont des « organisations politiques légitimes » et non des organisations terroriste. Et si Mahmoud Abbas souhaitait vraiment lutter contre le financement du terrorisme, cela se saurait. Il commenceraitdéjà par balayer devant sa porte en cessant de consacrer des milliards chaque année aux salaires versés aux terroristes détenus ou à leurs familles, de manière progressive en fonction de leurs « actions héroïques » selon la terminologie en cours.
Ce double langage est coutumier depuis toujours dans la sphère arabe palestinienne et il est destiné aux oreilles (faussement) naïves de la communauté internationale. On se souvient de Yasser Arafat déclarant aux micros européens qu’il est « opposé à toute violence » avant de déclarer ailleurs que « lutter pour libérer la Palestine ne peut être considéré comme de la violence ». Ou encore les déclarations de leaders ‘palestiniens’ (et Arabes israéliens) condamnant la main sur le coeur la violence contre les civils, mais expliquant plus tard que les civils israéliens ne peuvent pas être considérés comme tels, puisqu’ils ont été, sont, ou seront un jour des « soldats d’occupation ».
Sans parler du volet politique, avec la stratégie des étapes adoptée par l’OLP qui exige un Etat « sur les frontières d’avant juin 1967 » en « omettant » de rajouter quatre petits mots: « dans un premier temps ».
Tout est ainsi fait avec un art inimitable de la tromperie afin de s’attirer les faveurs de la communauté internationale mais aussi hélas, de certains milieux politiques en Israël qui prennent à chaque fois prétexte sur ce genre d’artifices pour affirmer que Mahmoud Abbas est un homme de confiance et un fervent partisan de la paix.
Photo Flash 90
trop drôle
Le pire est le soutien indéfectible de l’UE à cette entité, avec Macron et Merkel en tete
C’est le propre même de la Takya musulmanienne (raconter des messages pour arriver à ses fins).
Les juifs n’étant pas des êtres humains, tout juste « les descendants des singes et des porcs », rien de ce qui est valable pour les êtres humains ne peut s’appliquer à eux.
Donc si on tue un juif c’est comme si on tuait un porc.
Tout juste s’ils ne font pas l’élevage des juifs en batterie pour avoir le plaisir de les abattre à l’âge adulte.