Il se passe tout de même des choses étranges dans le monde de la magistrature.
Le juge à la Cour suprême Niel Hendel avait repoussé une requête de libération anticipée pour raisons médicales du terroriste du Fatah Sami Abu Dieck. Ce dernier avait assassiné Ilya Kravitz hy”d à ‘Homesh le 20 juin 2001. Pour ce crime et d’autres actes terroristes qu’il avait commis auparavant, il avait été condamné à trois peines de réclusion à perpétuité. Atteint d’une maladie en phase terminale, Abu Dieck est finalement mort cette semaine en prison.
Mais dans la lettre d’énoncé du verdict, le juge Hendel a rajouté cette phrase: “Je participe à la douleur de la famille”!!
Le Forum des familles endeuillées par le terrorisme a fait part de sa “consternation” et le journaliste Shimon Riklin (Aroutz 20) a déclaré: “Voici le visage de notre système judiciaire, une perte totale de baromètre moral et de sens élémentaire de la justice”.
Photo Yonatan Sindel / Flash 90
C’est une preuve flagrante qu’apporte ce soit-disant juge que la cour suprême n’est suprême que de nom et qu’il est plus qu’impossible de mettre une moindre confiance entre leur main.
Cette oligarchie ne peut en aucun cas représenter un peuple: au pire eux-mêmes!
SI LES JUGES DE LA COUR SUPRÊME D ISRAËL PRENNENT PAR DE LA PEINE DE LA MORT D UN TERRORISTE AUJOURD HUI, IL EST PROBABLE QUE LA PROCHAINE FOIS IL CONDAMNERONT LA VICTIME ISRAÉLIENNE AU BÉNÉFICE DE L ATTAQUANT.
IL N Y A QU EN CETTE DÉMOCRATIE MOYEN ORIENTALE DE VOIR CELA!!!!!!!!!!!!!!!!
Une justice bien malade inadaptée à un état en guerre face aux terroristes
A quelle famille ? A-t-il dit s’il s’agissait de la famille de la victime ou de l’assassin ? Ou bine n’a-t-il pas défini, auquel cas, il faudrait d’abord s’éclairer sur le sujet.
. D’après la lecture de l’article, le juge a écrit les mots lors du verdict. Le terroriste n’ètait pas encore mort. On peut comprendre qu’il adressait ces mots à la famille de la victime.C’est vrai que nous avons beaucoup de soucis au niveau judiciaire mais il faut pas en rajouter.