Lors de la cérémonie traditionnelle “Toute personne porte un nom” qui s’est déroulée à la Knesset, le nouveau député Avi Maoz, président du parti Noam, a été agressé verbalement par l’une des personnes présentes qui l’a insulté en des termes particulièrement odieux en cette journée du Souvenir : “N’avez-vous pas honte de participer à cette cérémonie à la mémoire de ceux qui ont été brûlés durant la Shoah ?? Dommage que vous viviez et dommage que vos parents n’ont pas été brûlés là-bas!”
Le député a fait intervenir le service d’ordre de la Knesset et a déposé une plainte auprès de l’officier de la Knesset. Il a ensuite raconté l’histoire de sa famille et cité les noms de tous les membres qui ont péri durant la Shoah.
Un autre incident s’est déroulé durant cette cérémonie. Le député Ahmad Tibi (Liste arabe) a quitté la salle de manière démonstrative au moment où Itamar Ben-Gvir (Hatziyonout Hadatit) est allé à la tribune pour citer les noms des membres de sa famille disparus durant la tourmente.
Après la cérémonie, Itamar Ben-Gvir a réagi : “Ahmad Tibi a offensé la mémoire des rescapés autant que des victimes. Il s’agit d’un partisan du terrorisme qui ne devrait pas avoir sa place à la Knesset. Chaque minute où il se trouve dans cette enceinte est un crachat au visage du peuple juif et des millions de victimes”.
Par ailleurs, Zehava Gal-On, ancienne présidente du parti Meretz a appelé à “stopper Betzalel Smotritch avant qu’il n’y ait un nouveau Treblinka”…
Cherchez qui diffuse la haine…
Photo Wikipedia
La Knesset est devenu aussi un terrain d’affrontements. Démocratie oui, mais quelle démocratie!! Même le jour de la Shoa!! “C’est pas moi, c’est l’autre”. Cela ne change rien. Même si quelqu’un cherche à diviser pour mieux régner.
Mesdames et Messieurs les Députés, c’est cela que vous voulez donner en exemple à notre jeunesse pour qu’ils en fassent autant!.après peut-être 4 échecs aux élections?
A force de vouloir ouvrir toutes les portes, on laisse passer ceux qui ne devraient jamais entrer dans notre maison….
Je me souviens de Yehoudi Menuhim et sa soeur qui , un jour, dans leur grande bonté, décidèrent de laisser leur porte ouverte, résultat, ils furent cambriolés.