L’avocate et journaliste Kineret Brashi accuse les médias ainsi que les milieux féministes d’adopter une attitude de deux poids et deux mesures dans les affaires de harcèlement sexuel suivant qui en est l’auteur. Elle leur reproche une couverture médiatique mineure dès qu’il s’agit de personnes de gauche ou d’Arabes qui sont suspects de cette infraction. Elle cite notamment le cas de l’acteur Moshé Ibgi, pour lequel les médias ont manifesté quelque indulgence alors qu’elles peuvent adopter une attitude obsessive s’il s’agit d’un rabbin ou d’une personnalité de droite.
Elle a également rappelé le scandale de la Commission pour la promotion du Statut de la Femme dont la présidente Aïda Toumah-Suleiman (Liste arabe unifiée) a empêché le témoignage de jeunes femmes juives qui avaient été agressées sexuellement par des Arabes.
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Très sincèrement, vu le degré de pourriture des merdia israéliens, ce serait merveilleux de liquider, un peu chaque jour, quelques unes de ces déjections propagandistes…
Ces ordures tuent avec leurs mots. Je souhaite sincèrement leurs rendre la pareille.