L’ère Trump est bel et bien révolue. Dans son rapport annuel sur la situation des droits de l’homme dans le monde, le State Department américain a repris l’expression de “territoires occupés” pour parler de la Judée, la Samarie, la vallée du Jourdain, le Golan et les parties de Jérusalem libérées en 1967, termes qui avaient disparu durant l’administration précédente.
Interrogé sur cette question lors d’un point de presse, le porte-parole du State Department, Ned Price a confirmé cette intention : “C’est un fait historique qu’Israël a conquis la Rive occidentale, la bande de Gaza et le Golan lors de la guerre des Six jours. Cela signifie-t-il que la Rice occidentale est un ‘territoire occupé’ ?
Le rapport du State Department stipule cependant que “la formulation employée ne constitue pas une prise de position quant au statut final de ces territoires qui devra être défini dans le cadre de négociations entre les parties, avec la fixation de frontières entre l’Etat d’Israël et tout Etat palestinien futur”.
A noter que les “informations” contenues dans ce rapport concernant en Israël sont principalement fournies par des ONG anti-israéliennes telles que B’Tzelem, Shovrim Shetika ou Ir Amim.
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