Les autorités jordaniennes ont annoncé la prochaine libération d’Ahmad Moussa Dakamsa, le soldat jordanien qui avait assassiné sept jeunes filles israéliennes à l’arme automatique en 1997. Six autres avaient été blessées dont deux gravement.
Le 13 mars 1997, un groupe de jeunes filles d’une école de Beit-Shemesh effectuaient une excursion sur “l’île de la Paix”, aménagée suite aux accords de paix entre Israël et la Jordanie. Ce site construit du côté jordanien de la frontière était ouvert librement à l’entrée d’Israéliens.
Le terroriste, d’abord présenté comme un “déséquilibré mental” avait finalement été jugé et condamné à la prison à vie par un tribunal jordanien. La question d’une libération anticipée a été évoquée à plusieurs reprise dans le royaume hachémite, notamment par le Parlement, mais les pressions des familles de victimes suivies de celle du gouvernement israélien avaient jusqu’à présent évité que le terroriste bénéficie d’une libération anticipée. Au mois d’octobre dernier, le ministre jordanien de la Justice Muhmad Al-Mumani déclarait encore que le détenu purgera sa peine jusqu’à sa mort.
Ce ne sera hélas pas le cas, et le terroriste sera libéré d’ici un mois, vingt ans presque jour pour jour après avoir perpétré son massacre.
Nurit Fatihi, la mère de Sivan hy’d, l’une des sept victimes, a déploré cette libération anticipée. Elle a rappelé les terribles moments vécus par les familles après l’attentat et lors du procés. “Je n’oublierai jamais les insultes que nous lançait le terroriste dans la salle d’audience, son sourire, le ‘V’ de la victoire qu’il exhibait et surtout lorsqu’il a dit que s’il avait pu il aurait ‘fini le travail'”.
Photo Wikipedia
Du boulot pour le Mossad
Qu’HM donne de la force aux familles des victimes qui doivent vivre cette horreur!!!
Par ailleurs, y’aurait pas un modérateur qui pourrait supprimer les commentaires racistes comme “La pourriture musulmane est ainsi”?
chabat chalom