La directrice du ministère de l’Education nationale, Dalit Stauber, tire la sonnette d’alarme sur les chiffres du personnel en Israël.
Elle a annoncé que l’année dernière 600 enseignants avaient abandonné leur métier. Parallèlement, cette profession ne suscite plus autant de vocation et le nombre de jeunes voulant exercer ce métier est en chute. Stauber met en avant le manque cruel d’institutrices en école maternelle et une baisse de 20% des inscriptions pour le diplôme d’enseignant. »Nous avons voulu ouvrir un programme spéciale pour les institutrices de maternelle. Nous en attendions 100, 12 se sont inscrites ».
La période du Corona a particulièrement mis en exergue ces difficultés. Des classes entières ont fermé par manque de remplaçants lorsqu’un professeur ou une institutrice était malade.
Selon Stauber, interrogée sur Kan Reshet Beth, si chaque année on déplore le départ d’enseignants qui préfèrent aller exercer un autre métier, cette année c’est le double qui est parti. Pour elle, la raison principale de ces changements de carrière réside dans les conditions de travail : »Il est nécessaire d’améliorer leurs conditions de travail et leur salaire ».
La directrice du ministère de l’Education nationale est assez alarmiste, pour elle, le 1er septembre prochain, le système scolaire israélien n’aura plus assez d’enseignants. »L’Etat se trouve dans une crise stratégique ».
La présidente du syndicat des professeurs, Yaffa Ben David, a une analyse semblable. Elle s’est adressée au ministre des Finances en ces termes : »Il existe un réel risque que nous ayons des difficultés à ouvrir la prochaine année scolaire; mais c’est la première année où je ne dois pas menacer de cela, car elle ne pourra pas être ouverte quoi qu’il en soit, faute de personnel ».
Un conflit, non résolu, qui dure depuis 75 ans coûte très cher militairement.( 6,5 % du P.I.B. ) Pendant ce temps, tous les problèmes intérieurs sont rejetés au second plan. Ce peuple, immature politiquement va-t-il enfin exiger de ses dirigeants, que des démarches soient entreprises pour mettre fin à cet interminable et ruineux conflit, par tous les moyens : au mieux par la diplomatie, au pire, par la force s’il le faut, à l’intérieur comme à l’extérieur ! Ce statu quo devient intenable et il est urgent d’y mettre un terme !
aucun rapport tout simplement que ce ministère n intéresse personne car il n est pas porteur d auréole .
les gens en place dans ce ministère sont totalement déconnectes du terrain .
pas de réel programme pédagogique dans les écoles ou on s intéresserait davantage a l avenir des enfants a commencer a leur donner des bases solides en primaire pour bien démarrer un cursus pour cela ne PAS AUTORISER DES NIVEAUX DE BASE AVEC PLUS DE 25 élèves ils sont la plupart du temps 38 alors on ne fait pas 2 classes c est INGERABLE dans kita aleph quand il y a en plus des familles a problèmes .ainsi que dans le lycée . les profs sont obliges d assurer les tours de surveillance dans les cours de récré de suppléer au pied levé sur son temps de trou qui devrait servir a la correction des copies a l absence d un prof d une classe qu’ il ne connait pas et d une matière qui n est pas la sienne etc….
pour finir notre intelligencia prend comme modele d éducation la suède mais en omettant que ni la discipline israélienne ni le profil même de l israélien ne correspond a un suédois mais cela mr benêt ne l a pas compris quand il était en poste
Difficile de trouver que des enseignants de bonne qualité, et avec ça 600 démissionnaires. A croire que la mentalité de cette gauche actuelle n’a pour but que l’affaiblissement de tous secteurs et politique. Même constat dans le reste dumonde malheureusement !