Le chef du Hamas, Ismaël Haniyeh, a répondu favorablement à l’invitation du ministre iranien des Affaires étrangères pour une visite à Téhéran.
Pas plus tard que vendredi, le ministre était au Liban où il a rencontré le chef terroriste du Hezbollah, Hassan Nasrallah.
Selon le communiqué du Hamas, le ministre iranien a félicité la ”force de résistance des Palestiniens” et s’est dit ”fier de l’opposition à l’occupation qui l’empêche de dormir”. Il a également évoqué la question de Jérusalem comme un sujet central pour son pays.
Ces dernières années, des hauts responsables du Hamas se sont efforcés de renforcer leurs relations avec l’Iran et ses antennes dans la région, et de profiter également de la relation avec les Iraniens pour se rapprocher de l’Arabie saoudite, après que cette dernière a décidé d’établir des relations diplomatiques avec l’Iran.
L’organisation terroriste, qui reçoit des dizaines de millions de dollars par an de Téhéran, tente de renforcer son pouvoir dans d’autres lieux que la bande de Gaza, tout en recevant le soutien iranien. Dans le sud du Liban, le mouvement terroriste bénéficie du soutien du Hezbollah, parallèlement à sa tentative de légitimer ses activités sur le sol syrien également.
A ce propos, récemment le Hamas a renoué avec les dirigeants syriens après une rupture des relations pendant près de 10 ans suite à la guerre civile en Syrie.
Parallèlement, les espoirs de parvenir à un rapprochement, malgré tout, entre Israël et l’Arabie Saoudite ne sont pas morts. Les reponsables américains en parlent même avec optimisme.
Le sénateur républicain, Lindsay Graham, qui était en Israël il y a quelques jours, joue le rôle d’intermédiaire entre Riyad et Washington. L’Arabie Saoudite a fourni aux Américains une série de conditions au réchauffement de leurs relations qui pourrait conduire à une normalisation des relations avec Israël. Les Saoudiens veulent une alliance de défense, le développement du nucléaire à des fins civiles, l’amélioration des échanges commerciaux entre les pays et l’arrêt des critiques à l’égard de l’Arabie saoudite suite à l’affaire Khashoggi.
Notons que la question palestinienne ne fait pas partie des exigences souadiennes. Par ailleurs, Israël n’a pas encore donné son avis sur la question du développement du nucléaire souadient à des fins civiles, c’est le point qui pourrait susciter le plus de réticences.
Voici la, la première cible d’Israël, puis Sinwar,puis marzouki etc…
Pourquoi ? Ils ne seront pas remplaçés ?
Ont s’en fou, et tous autres aussi seront fumés, tu donne l’ordre de tuer des juifs, tu paies en tant que décideur.