L’intolérance de la gauche a une nouvelle fois été démontrée lors de l’émission d’une heure animée par le journaliste de droite Arel Segal. Ce dernier, qui dispose d’une heure par jour sur cette cette station depuis quelques mois est cependant flanqué le mardi du journaliste du Haaretz Haïm Levinson, afin “d’équilibrer” l’émission et D-ieu préserve ne pas laisser le micro au seul journaliste patriote. L’ironie est que durant les deux heures précédentes, le gauchiste Razi Barkaï était accompagné de la journaliste Rina Matsliah (Aroutz 2) presque autant à gauche que lui. Un bel exemple d’équilibre idélogique!
Lors de son émission de mardi, Arel Segal a voulu faire intervenir Pinhas Wallerstein, habitantd d’Ofra et ancien président du Conseil des localités juives de Judée-Samarie. Ce dernier n’avait pas eu le temps de finir sa première phrase pour exprimer sa tristesse face à la destruction des maisons et indiquer qu’aucun Arabe ne viendra habiter au centre d’Ofra que Haïm Levinson déjà l’interrompait, l’insultait et le traitait de menteur. Pinhas Wallerstein avait beau tenter de poursuivre son propos, soutenu par Arel Segal, rien n’y fit. Le journaliste de Haaretz avait décidé de prendre l’émission en main et d’empêcher Pinhas Wallerstein de s’exprimer. Excédé, Pinhas Wallerstein a raccroché.
Grosse colère d’Arel Segal qui a reproché à Haïm Levinson d’avoir fait raccrocher l’un de ses invités de son émission, qui désirait juste exprimer sa tristesse légitime face à la destruction. Arel Segal a également dit ses “quatre vérités” au journaliste de Haaretz, soulignant que même dans la malheureuse heure qui lui avait été accordée sur Galei Tsahal, il devait assister à de telles scènes d’intolérance de la part d’un journaliste de gauche.
Scène hélas trop connue de cette gauche qui accuse la droite de “limiter la liberté d’expression” tout en se livrant à un véritable terrorisme intellectuel dans l’un de ses derniers mais importants bastions, les grands médias.
Photo Aroutz 7