Matan Peleg, directeur général d’Im Tirtsou, a réagi au micro d’Aroutz Sheva aux critiques adressées à son mouvement après sa nouvelle campagne contre ce qu’il a appelé les ‘infiltrés’, visant des artistes et des gens de lettres d’extrême gauche. Dénonçant une ‘incitation’ contre Im Tirtsou, il a estimé qu’au nom de la ‘transparence’, ceux qui attaquaient la ministre de la Culture Miri Reguev ne devaient pas cacher qu’ils étaient membres de B’Tselem, du New Israel Fund ou de l’Association Yesh Din. Et de souligner : « Le public a le droit de connaître les opinions de ses ‘héros’ culturels. Nous n’appelons pas au boycott des artistes, nous ne faisons pas de provocations. Nous voulons juste de la transparence ». Matan Peleg s’est également demandé ‘pourquoi tous ceux qui avaient attaqué la campagne de son mouvement n’avaient pas dénoncé le boycott contre l’auteur-compositeur Ariel Zilber (chanteur engagé à droite) ou contre la salle de spectacles de la ville d’Ariel (en Samarie)’.