Le journaliste Gideon Lévy (Haaretz) est d’une exécrable virulence et méchanceté envers les Juifs de Judée-Samarie et le repeuplement juif dans ces régions historiques. Ses articles sur cette question et son “palestinisme” obsessionnel sont nauséabonds.
Mais parallèlement, il fait preuve d’une certaine honnêteté intellectuelle face à l’atmosphère politique dans laquelle est plongée le pays depuis quelques années, et il refuse de se laisser aller à la haine irrationnelle de la gauche et des médias contre Binyamin Netanyahou. A plusieurs reprises il a dénoncé avec la même virulence qu’on lui connaît le vide idéologique de la gauche israélienne qu’elle a rempli avec la haine envers l’ancien Premier ministre qui lui sert d’étendard fédérateur unique. La rencontre qu’il rendue au couple Netanyahou au domicile de leur ami commun Benny Tsiper l’a convaincu, de ses propres termes, que “Binyamin Netanyahou est aux antipodes de la manière dont il est décrit dans les médias et à gauche”.
Cela a suffi, dit-il pour qu’il se voit soudain traîné dans la boue et ostracisé par le milieu dans lequel il évolue depuis des années, et qui le considère aujourd’hui comme un traître. Gideon Lévy estime que “persécution dont est victime Binyamin Netanyahou est devenue insupportable”. Dressant un constat sans appel sur cette gauche dont il fait pourtant partie, le journaliste déclare : “Si vous osez dire que Netanyahou n’est pas pire que ceux qui sont venus venus avant lui ou qui viendront après lui, vous lui enlevez son jouet, la gauche devient plus destructrice, plus agressive et plus violente, dans les mots, que la droite”. “Soudain, toute ma carrière journaliste ne vaut plus rien car j’ai osé émettre une opinion que ce camp n’aime pas”, notre Gideon Lévy.
La fin de l’interview est édifiante : “Netanyahou m’impressionne davantage à chacune de mes rares rencontres avec lui. Qui aimeriez-vous rencontrer lors d’un dîner ? Je vous le demande : Yaïr Lapid ? Naftali Benett ? Gideon Saar ou Binyamin Netanyahou ? Ma réponse est catégorique…”
Vidéo :
"הרדיפה אחרי נתניהו הפכה להיות בלתי נסבלת". העיתונאי גדעון לוי מספר כיצד מחנה השמאל הפנה את גבו אליו בשל דבריו בעד נתניהו: "פתאום המפעל העיתונאי לא שווה כלום כי העזתי להביע עמדה שהמחנה לא אוהב". הכתבה המלאה במהדורת השבת@gideonle @avico21 pic.twitter.com/XF86R7WbUm
— חדשות 13 (@newsisrael13) December 17, 2021
Photo Moshé Shaï / Flash 90
“La haine irrationnelle de la gauche et des médias contre Netanyahou”
Tout le problème est là. Les médias ont été mis en place pour faire office de porte-parole du pouvoir. Quand le pouvoir a changé suite à des élections, les élus dont l’idéologie était différente de leurs prédecesseurs n’ont pas fait le ménage, d’où l’aberration d’une haine médiatique. Il ne saurait exister de décalage entre le pouvoir et les médias d’Etat, car toute démarche, décision ou politique du gouvernement serait immédiatement torpillée par l’idéologie qui détient les médias.
Quand les médias et le pouvoir sont alignés sur les mêmes principes, pour le bien comme pour le mal, alors le pouvoir peut travailler. Il suffit de voir l’adéquation entre Netanyahou et les médias pendant la crise du corona :
Ensemble, ils ont réussis à instiller la peur et l’obéissance et faire accepter aux 2/3 du peuple de rester enfermés, perdre leur travail, servir de cobayes et enrichir un société pharmaceutique douteuse.
Après ce constant édifiant, il ne reste plus à Gideon Lévy qu’à rompre avec cette gauche destructrice et en même temps avec son “palestinisme” tout autant destructeur.
CORRECTION :
Arès ce constat édifiant, il ne reste plus à Gideon Lévy qu’à rompre avec cette gauche destructrice et en même temps avec son “palestinisme” tout autant destructeur.
Les descendants de l’empire de Rome en créé le nazisme pour exterminer ISRAËL et le deuxième monstre Palestine le cheval de Troyes de l’Europe dans l’islam !!! ils ont distillé la haine et le mensonge jusqu’à son paroxysme