L’ancien chef d’état-major Gadi Eizencot était l’invité de l’Institut de politique et stratégie au Centre interdisciplinaire de Herzliya. Lors de son intervention, il a sévèrement critiqué le gouvernement : “Lorsque l’on donne des consignes de confinement et de mesures-barrières et que la population perd confiance, c’est une chose très grave. Il s’agit de la comabinaison entre l’absence de stratégie, de messages clairs et de leadership qui diffuse de l’assurance en période difficile. Il faut dire la vérité : la mission d’un leadership est de procurer espoir et vision”.
Il y a quelques mois, après un discours similaire de l’ancien chef de Tsahal, des informations circulaient sur sa volonté d’entrer en politique. Les médias avaient immédiatement sauté sur l’occasion pour étudier les chances de Gadi Eizencot de devenir le “sauveur” du centre-gauche israélien, ou plutôt celui qui selon leurs attentes arriverait enfin à battre Binyamin Netanyahou. Les sondages avaient rapidement refroidi leurs ardeurs, mais ce dernier discours indique que Gadi Eizencot semble décidé à faire le pas, alors que l’on parle de nouvelles élections qui pourraient se tenir au printemps prochain.
La question qui se pose est la suivante : a-t-il l’étoffe nécessaire pour être le “leader qui procure l’espoir et la vision” ? Durant son mandat de chef d’état-major, il ne s’est pas particulièrement distingué par ces qualités ni par un charisme envoûtant.
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Eizenkot ? Aucune chance.
Eizen n’a pas la cote. C’est comme tous les Chefs d’Etat Major, ils ne sont pas fait pour la politique. Regardez le naufrage lamentable et minable de ceux qui se sont frottés à la politique : Barak, Golan, Bugie, Ganz, Aschkenasi. Occupe-toi plutôt de tes rhumatismes et de ta bobonne. Profite de ta généreuse retraite que d’offre l’armée.